Et souvent…
Et souvent, cette difficulté à bouger. À faire autre chose que tourner les pages au son de quelques notes. À aller là où est supposément la vie, alors qu’elle est ici. Maintenant. Dans les mots d’un poète. Dans une phrase qu’on retient. Dans l’arpège qui se glisse dans nos mémoires.
Et souvent, l’envie de fermer les stores et d’oublier que le monde existe.
*toile de Malie Baehr

Alors là, non ! Ce n’est pas bien, non non… Tires les rideaux, ouvres les volets, allumes toutes les petites lampes… Un bon coup de peigne, mets la jolie petite robe rouge, tu sais la dernière que tu as acheté et qui te plaît tant. Une bonne tasse de thé, un peu de rouge sur les lèvres, un petit nuage de parfum. N’oublies pas ton sac, à la rigueur, glisses-y le petit livre emprunté hier à la bibliothèque, l’appareil photo en main. Allez hop, hop, DEHORS !!!
Commentaire by LOU — 18 novembre 2011 @ 7:12
Et trop souvent cette attitude n’est pas comprise comme si nous étions des extras terrestres ou des sauvageonnes…
Commentaire by Flairjoy — 18 novembre 2011 @ 7:51
Un bon café, Lali et ça repart… 🙂
Commentaire by Denise — 18 novembre 2011 @ 9:09
Echo à tes mots Lali. Et à ceux de Flairjoy.
Commentaire by Chantal — 19 novembre 2011 @ 10:06