Les fleurs du centre commercial
Elles ne sont pas dissimulées dans un couloir que personne ne fréquente, mais bien en évidence. Mais pourquoi les gens ne semblent-ils pas remarquer ces fleurs colorées au cœur du centre commercial?
Elles ne sont pas dissimulées dans un couloir que personne ne fréquente, mais bien en évidence. Mais pourquoi les gens ne semblent-ils pas remarquer ces fleurs colorées au cœur du centre commercial?
Et en partant, n’oubliez pas de saluer le fermier et la fermière. Et si le cœur vous en dit, vous pouvez même prendre leur place le temps d’une photo!
Ils n’ont qu’un seul but : vous séduire. Et si j’ai bien compris : ils réussissent la plupart du temps!
Quand les graines sont arrivées, ça se trémoussait de tous les côtés. Il n’y en avait que pour les plus petits. Le coq a dû attendre son tour!
Quand je l’ai vu, j’ai tout de suite pensé à ce poème que je récitais à douze ans…
Le paon aurait bien aimé joue le grand jeu et nous montrer sa beauté dans toute sa splendeur. C’est ce que j’en ai conclu à le voir se déplacer dans toutes les directions, tentant de se tailler une place au milieu de la basse-cour improvisé. Mais sans succès.
Il me semble en entendre quelques-uns s’insurger et brandir leurs pancartes faisant valoir bien haut les droits des animaux. Cela ne m’arrêtera pas. Cela ne m’empêchera pas de vous présenter la ferme de Pâques du centre commercial où je suis attardée mercredi, comme je le faisais gamine.
Je n’ai pas vu là d’animaux maltraités, mais des bêtes propres et nourries dont certaines, au regard charmeur ou attendrissant, ont fait la conquête des enfants des garderies et maternelles des environs.
J’ai retrouvé pendant une demi-heure mes souvenirs d’enfance et j’ai eu envie de vous présenter en images cette ferme bruyante et indisciplinée. Juste pour le plaisir. Voici donc la ferme de Pâques.
Il y a encore des robes sur les cintres et une vieille machine à coudre qui fait office de décor. Mais la boutique de vêtements créés par des designers du Québec et de Vancouver a fermé ses portes, acculée à la faillite, comme l’indique un message du syndic sur la porte.
Je n’y étais jamais entrée. Mais j’aimais bien ses vitrines. Notamment celles-ci qui ne seront jamais remplacées.