Lali

12 mars 2024

Ce que mots vous inspirent 3209

Filed under: Ce que mots vous inspirent,Couleurs et textures — Lali @ 8:00

Tu n’es jamais obligé de finir un livre. Finis seulement ceux qui le méritent. (Jaume Cabré)

*illustration de Manka Kasha

11 mars 2024

En attendant les vraies

Filed under: Couleurs et textures,La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Ce n’est pas dans l’immédiat que les fleurs sortiront de terre. La terre a nouveau gelé après quelques jours de chaleur anormale pour la saison. Alors, pour patienter en attendant les vraies, voici quelques fleurs peintes par Marjukka Leppänen.

10 mars 2024

Et si je parlais d’elle 3

Filed under: États d'âme,Couleurs et textures — Lali @ 16:19

Nous ne sommes plus libraires ni l’une ni l’autre. Cette partie de nos vies est bien finie. Mais nous aimerons toujours ces lieux où nous avons passé près d’un quart de siècle. Pas ces grandes surfaces anonymes et toutes pareilles, mais ces petites librairies avec un cachet où se côtoient des écrivains dont on parle peu ou pas.

Et bien sûr, nous nous sommes animées de plus belle, pestant contre le grand A qui prenait une telle place que de nombeuses librairies d’ici et d’ailleurs avaient dû mettre la clé sur la porte.

Et nous sommes souvenues d’autres qui avaient tenu le coup longtemps même si. Malgré. Parce que la foi du propriétaire. La fidélité des habitués.

Et nous avons rêvé d’une librairie dans les bois où on trouverait les livres que nous aimons. Et nous sommes entrées dans celle imaginée par Soizick Meister.

Les couleurs d’Otto Mueller

Filed under: Couleurs et textures,La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Grâce à Miroslava, j’ai fait connaissance avec le peintre Otto Mueller. Je crois que c’est le début de nouvelles recherches pour en apprendre plus.

En vos mots 881

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

Alors que nous venons de passer à l’heure d’été en Amérique du Nord, je vous propose cette semaine de nous raconter en vos mots ce que cette scène livresque signée Katarina Branisova évoque pour vous.

Comme le veut l’habitude, aucun texte ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes d’ici là, en vers ou en prose, car il n’y a pas de règles au pays de Lali, et même de lire les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier.

Sur ce, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.

9 mars 2024

Joli jeu de mots!

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Où puis-je trouver de telles vitamines? J’en aurais bien besoin!

8 mars 2024

Bon 8 mars!

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

C’est la Journée internationale des droits des femmes. Et les choses ont bien progressé depuis cette scène d’époque réimprimée sur une carte postale. Mais je serais bien surprise de trouver quelqu’un, un homme comme une femme, qui n’aime pas recevoir de courrier. Qu’en pensez-vous?

Ce que mots vous inspirent 3208

Filed under: Ce que mots vous inspirent,Couleurs et textures — Lali @ 8:00

Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis. (Edgar Allan Poe)

*illustration de Romain Lubière

7 mars 2024

Devant la bibliothèque de Cincinnati

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Quelle jolie scène que celle-ci! Pour d’autres photos de cette bibliothèque, qui a été démolie en 1955, il suffit d’ouvrir cette page.

6 mars 2024

Et si je parlais d’elle 2

Filed under: États d'âme,Couleurs et textures — Lali @ 20:09

C’est bien elle. Tout à fait elle. Même si elle a parfois bifurqué, douté de tout et d’elle-même. Tout comme moi.

Et nous reprenons le fil d’une conversation interrompue sans chercher à savoir si l’une de nous deux est responsable de ce long silence.

À quoi cela servirait-il, de toute façon? L’important est que nous nous soyons retrouvées, intactes d’une certaine manière. Disons plutôt presque intactes à certains égards. Car inutile de nous leurrer, nous avons l’une et l’autre perdu des plumes, vu nos cheveux blanchir même si nous les dissimulons, vécu la perte d’amis emportés trop tôt, mis de côté des rêves que nous avons jugés irréalisables, touché du bout des doigts ceux qui pouvaient peut-être ne pas s’effriter.

Et nous avons ri comme nous savions si bien le faire autrefois. Ri de nos bêtises, des pièges dans lesquels nous sommes tombées, de ceux auxquels nous avons échappé in extremis. Chaque fois guidées par cet instinct de survie qui ne nous a jamais quittées.

Et j’ai vu dans ses yeux une lumière toute nouvelle. Une lumiêre que je lui ai déjà connue, mais qui avait disparu.

Je n’ai pas posé de questions. Nous ne nous sommes pas retrouvées par hasard.

Je devais voir cet éclat dans ses yeux. A-t-elle remarqué le mien?

*illustration de Giovanni Esposito

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