Ce que mots vous inspirent 3144

Tout paraît plus simple face à la mer, comme si son chant pouvait nous faire oublier qu’il y a une vie autour qui nous attend impatiemment. (Cécile Briomet)

Tout paraît plus simple face à la mer, comme si son chant pouvait nous faire oublier qu’il y a une vie autour qui nous attend impatiemment. (Cécile Briomet)

Une pause. Tel est le titre de cette photographie prise par Edita Aleksandravičienė.
Il ne me semble pas m’être déjà endormie la tête sur une pile de livres, mais livre à la main, plus d’une fois!

Grâce à Leon ventilador, j’ai découvert l’univers de l’artiste multidisciplinaire colombienne Amalia Low, peintre, illustratrice, auteure jeunesse, céramiste et musicienne. Visitez son site. Vous tomberez sous le charme vous aussi.

Que diriez-vous de plonger dans un livre cette semaine? C’est ce que vous propose l’illustratrice Oksana, à qui l’on doit cette scène livresque et rafraîchissante.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc sept jours devant vous pour donner vie à cette image. Il n’y a donc aucune urgence.
Prenez donc le temps de lire les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier, et de les commenter si vous le souhaitez, avant de plonger!
C’est avec plaisir que nous vous lirons dans une semaine. D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.

Avec amour (ou avec beaucoup d’amour) est la traduction française de sok szeretettel. Cette bien jolie carte postale m’a été envoyée de Hongrie par Ibolya qui sait à quel point j’aime les coquillages et tout ce qui se rapporte à l’océan.

Je suis fan des toiles de Carl Larsson depuis l’adolescence, d’autant plus qu’il a peint un grand nombre de lectrices et de lecteurs. Vous en avez d’ailleurs croisé certains au pays de Lali.
Or, il n’y a pas très longtemps, mon ami Eugen m’a appris que l’artiste suédois n’était pas tendre avec ses modèles qu’il faisait poser des heures sans leur accorder de pause ou même leur offrir un verre d’eau. Combien de temps Lisbeth est-elle restée ainsi à attendre que ça morde? L’histoire ne le dit pas,

C’est si facile d’être radical, je suis contre ceci, je suis pour cela. C’est tellement plus difficile de trouver le juste milieu, pas celui qui s’accommode des horreurs, des extrêmes, non, celui qui respecte l’humain. (Brigitte Peeters)
*illustration de Mariona Tolosa Sisteré

Ohle possède une importante collection de plumes, ce qui lui a donné l’idée de les photographier et de créer des cartes postales à partir de ses photos. Voici, à ses yeux, sa plus ancienne et sa plus belle.

Je ne m’en lasse pas… La moindre carte postale mettant en vedette une machine à écrire me plait… Celle-ci m’a été envoyée de Suède par Else.

Même si on peut lire n’importe où, je ne suis pas certaine que je trouverais agréable de lire sur le toit comme le fait la lectrice photographiée par Kathrin Ziegler. Mais ça donne une magnifique carte postale!