Lali

Je suis fan des illustrations d’Eric Carle depuis que j’ai découvert ses albums du temps de ma vie de libraire. J’ai donc eu un sourire grand comme ça quand j’ai trouvé cette carte dans ma boîte aux lettres. L’illustration est tirée de son album le plus vendu, paru en français en 1972 sous le titre La chenille qui faisait des trous et dont le titre a été modifié en 1995 pour La chenille qui fait des trous. Un album qui, selon moi, n’a pas pris une ride même s’il date de plus d’un demi-siècle.

La carte, imprimée en Lituanie, a été envoyée d’Allemagne. Mais je n’ai pas réussi à trouver le nom de l’artiste à qui l’in doit cette aquarelle sur carte postale qui a été choisie avec soin et qui me ressemble.

Il est difficile, lorsqu’on est pris dans les préoccupations routinières de l’âge adulte, de se rappeler la force des passions et des espoirs de la jeunesse. (John Krakauer)

*toile de Craig Mooney

Torockó (ou Rimetea) a une longue histoire puisqu’on retrouve des traces de son existence dès l’Empire romain. Depuis 1918, année qui marque l’union de la Transylvanie à la Roumanie, le village a peu changé selon Soma, qui m’a envoyé cette carte postale, sauf pour le fait qu’il est devenu un lieu de villégiature pour de nombreux Hongrois qui comptent pour 85 % de la population. Autant je trouve ces maisons bien jolies, autant je trouve que ça manque de vert… Où sont passés les arbres?

Si vous visitez un jour le pays de Galles, passez par Hay-on-Wye. Le village, qui compte environ 1300 personnes, est le paradis des chercheurs de trésors, de nombreux bouquinistes s’y étant installés depuis 1960. Un village qui en a inspiré d’autres, notamment Redu, en Belgique, que j’ai visité en 2005.

Des fleurs qui dansent de joie! Une création de l’artiste japonais Hiroaki Ishihara, pour marquer le changement de saison.

On ne pourra jamais déterminer avec certitude dans quelle mesure nos relations avec autrui sont le résultat de nos sentiments, de notre amour ou non-amour, de notre bienveillance ou haine, et dans quelle mesure elles sont d’avance conditionnées par les rapports de force entre individus. (Milan Kundera)

*illustration de Jana Glatt

Il y a des sujets dont je ne me lasse pas. Les personnes qui fréquentent régulièrement le pays de Lali les connaissent bien. Elles ne seront donc pas étonnées de trouver ici une carte postale avec des machines à écrire. Un envoi en provenance du Minnesota, pour me dire Hello!

La bibliothèque centrale Oodi, à Helsinki, semble un lieu de rêve. C’est ce qu’affirme Sinikka, qui m’a envoyé cette carte postale et qui la fréquente régulièrement. Cet article vous racontera son histoire.

C’est grâce à une carte postale que j’ai découvert le travail de l’artiste Nastya Romakhina, résidant à Berlin, qui signe ses illustrations Thekozerog. Tout de suite, j’ai eu envie de vous proposer de faire vivre en vos mots cette illustration qui m’a beaucoup plu. Elle est donc à vous pour sept jours.

Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc plus que le temps de lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier, et même de les commenter si vous le souhaitez, en plus d’écrire quelques lignes. C’est avec plaisir que nous vous lirons.

D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent!