Valisère

Quelle jolie pub que celle-ci pour la compagnie Valisère, à partir d’un dessin de René Gruau datant de 1947. Une belle trouvaille de mon amie Anne, de passage à Grenoble, où a été fondée l’entreprise.

Quelle jolie pub que celle-ci pour la compagnie Valisère, à partir d’un dessin de René Gruau datant de 1947. Une belle trouvaille de mon amie Anne, de passage à Grenoble, où a été fondée l’entreprise.

Comme j’aime beaucoup tout ce qui se rapporte à l’océan, Anna a choisi pour moi ce tableau sur carte postale de l’artiste Anna Petunova. J’ai tout de suite souri quand j’ai vu le crabe, car j’ai eu l’impression qu’il me regardait. Vous aussi?

C’est là que les chercheurs d’or venus du monde entier déposaient leurs lettres afin de donner des nouvelles aux leurs. Or, même s’il n’est plus fonctionnel aujourd’hui, l’ancien bureau de poste de Dawson City, érigé en 1900, n’a rien perdu de son charme.

Quand tu devrais vivre trois fois mille ans, et même autant de fois dix mille ans, souviens-toi pourtant que nul ne perd une vie autre que celle qu’il vit, et qu’il ne vit pas une vie autre que celle qu’il perd. Par-là, la vie la plus longue revient à la vie la plus courte. (Marc Aurèle)
*toile signée Holly Wojahn

Je rêve de voir un jours les tapisseries de la Dame à la licorne du Musée de Cluny. En attendant, je peux admirer ces cartes postales qui les reproduisent et qui composent la tenture, en commençant par celle qui représente La vue.

Passons maintenant à L’ouïe, dans son entièreté et à une partie de la tapisserie.


Puis au Toucher.

Continuons avec Le goût, de loin et de près.


Et terminons par L’odorat.

Le mausolée de Galla Placidia, à Ravenne, qui date du Ve siècle, fait partie du patrimoine de l’Unesco. C’est grâce à cette carte postale montrant quelques détails de sa décoration que j’ai appris son existence.
Comment pourrais-je me lasser des cartes postales alors qu’elles me permettent de faire des découvertes excpetionnelles?

Et si nous nous aventurions cette semaine au pays des bédéistes? C’est ce que je vous propose en mettant de l’avant cette illustration de Jacques Tardi, qui n’a pas besoin de présentation, afin que vous la racontiez en vos mots, comme vous le faites si bien semaine après semaine.
Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous laisse le temps d’examiner la scène sous toutes les coutures avant d’écrire, et de lire les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier.
C’est avec plaisir que nous vous lirons dimanche prochain, il va sans dire.
D’ici là, profitez des beaux jours et souriez!

Je ne sais pas qui est A. Drayton-Potterton à qui l’on doit cette scène d’époque à l’heure du thé. Je sais seulement qu’il s’agit du Vornehmstes Teehaus, à Hambourg, aujourd’hui disparu, que cette carte a été envoyée à un certain Gustav, à Stuttgart, en 1920, et qu’elle a traversé l’océan il y a peu grâce à mon amie Astrid.

L’escalier principal du Palais d’hiver, à Saint-Pétersbourg, une superbe aquarelle de Constantin Oukhtomski.

Quiconque arrose dans son cœur la plante de l’amour n’a pas un seul jour de sa vie qui soit inutile. (Omar Khayyam)
*illustration de John York