C’est le citoyen le plus célèbre de Bruxelles. Vous ne pouvez pas le rater si vous passez par la rue de l’Étuve. Mais il risque d’y avoir beaucoup plus de monde que sur cette carte postale ancienne qui m’a été envoyée de Knokke-Heist par Marleen. Il s’agit de Mannekin-Pis, bien entendu.
Il y a tellement de musées à découvrir! C’est ce que je constate une fois de plus alors que Silvia m’invite à admirer l’extérieur du Centre Pompidou-Metz, qu’elle a visité pendant les vacances de Pâques. Et un de plus sur ma liste!
Vous ne voyez peut-être que des verres de lait sur cette toile sur carte postale de l’artiste Joël Penkman.
Et pourtant… Remontez le temps avec moi jusqu’au début des années 1980. Vous y verrez Pascal, encore jeune, et moi, en train de manger des biscuits et de boire un verre de lait après une sortie au cinéma. D’aucuns diraient que c’était le bon temps… Peut-être.
Nous ignorions alors que, quelques années plus tard, naîtrait Ève, sa fille aînée et ma filleule, qui aime autant les biscuits que son père les aimait alors.
Il y a trop longtemps que je n’ai mangé des biscuits avec Pascal. Bien trop longtemps…
Alors que je viens tout juste de valider les textes que vous avez déposés sur la scène livresque de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire, je vous propose cette semaine de faire vivre en vos mots cette illustration de l’artiste Ovadia Benishu.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes, en vers ou en prose, selon votre inspiration.
D’ici là, bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent!
Un jour, je visiterai la maison de George Sand à Nohant. L’intérieur, comme l’extérieur. Et son jardin. Chantal avait tant aimé cet endroit.
Selon mon facteur, les enveloppes et cartes postales à destination du Canada qui n’ont pas été oblitérées par Postes Canada doivent l’être d’une façon ou d’une autre pour éviter que les timbres soient réutilisés, ce qui aurait comme résultat des pertes de millions de dollars annuellement et des coupures de postes pour pallier cette entrée d’argent. (Du grand n’importe quoi!) Tour cela pour dire que ce sont les facteurs eux-mêmes ou le personnel du tri final qui sont tenus d’oblitérer manuellement les timbres vierges, et qu’on ne leur fournit pas de tampon pour cette opération. Mais pourquoi y mettre tant de rage? Pourquoi détruire des timbres avec du vert et du rouge, et même les déchirer? JE SUIS FURIEUSE!
Quand on a six pharmaciens dans sa famille et qu’on a travaillé dans la pharmacie de ses parents pendant de nombreuses annéées, on ne peut que s’intéresser à ce qui se rapporte à la pharmacie.
Je rêvais déjà de visiter La Nouvelle-Orléans. Or, c’était sans savoir que cette ville abrite un musée consacré à la pharmacie. Un endroit que m’a fait découvrir Anastasia, une Ukrainienne qui vit depuis deux ans aux États-Unis.
Quand la lampe n’est pas encore éteinte, quand le feu commence à pâlir et que le soleil se cache, il y a quand même dans la rue des gens qui passent. (Pierre Reverdy)
*toile d’Henri Rondel
