J’adore découvrir des artistes. C’est probablement l’une des raisons pour lesquelles j’aime tant les cartes postales. Elles me permettent d’ouvrir la porte d’univers qui m’étaient totalement inconnus. Comme celui de l’artiste Imke Sönnichsen.
Alors que Montréal se remet de la récente tempête de verglas qui a privé d’électricité un million de foyers de quelques heures à plusieurs jours, le printemps semble s’installer pour de vrai. Je compte donc ranger jusqu’à l’automne pelle, déglaçant et bottes munies de crampons, entre autres.
Peut-être même que dans pas si longtemps je pourrai lire dehors, comme le fait la lectrice de l’artiste Bao Luu, que je vous invite à faire vivre en vos mots.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc plius que le temps de lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier et d’écrire quelques lignes.
D’ici là, bon dimanche à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
C’est au peintre danois Hans Andersen Brendekilde que l’on doit ce tableau de toute beauté. Selon mon amie Astrid, qui a déniché cette carte d’une autre époque dans un marché, cette femme assise sur un rocher devant la mer, ce pourrait être moi. Ou elle. Et je crois qu’elle dit vrai.
Ils sont nombreux les endroits que je reverrais. En fait, presque aussi nombreux que ceux que j’aimerais visiter. La Vendée fait partie de ces endroits. Je ne pouvais donc qu’être ravie de recevoir cette carte que m’a envoyée Isabelle. Surtout qu’on y voit des fleurs!
J’ai eu la chance, en juillet 1990, de visiter la maison où a vécu Edgar Allan Poe pendant les six années qu’il a passées à Philadelphie. C’est donc avec joie que j’ai trouvé dans ma boîte aux lettres cette carte envoyée par Shannon, qui a elle aussi apprécié sa visite et acheté quelques cartes postales. Dont celle-ci, une des illustrations de Harry Clarke pour l’édition de 1919 des Tales of Mystery and Imagination. Vous en trouverez d’autres ici.
Je ne sais pas encore quelles fleurs seront à l’honneur au pays de Lali, mais il y aura au moins deux tulipes. Voici la première. Un tableau de l’artiste Jan van Huysum, qu’on peut voir au British Museum. Ma filleule, qui part pour Londres demain, le verra-t-elle pendant son séjour là-bas?
Le bonheur demeure un concept relativement abstrait tandis que la souffrance nous paraît plus concrète. C’est tout à fait naturel. C’est à travers la souffrance que l’être humain éprouve le plus souvent sa propre existence. (Joungha Joo)
J’ai tellement hâte de voir les fleurs sortir du sol qu’il est fort possible qu’il y ait plus d’une carte postale les mettant en vedette ces prochains jours au pays de Lali. D’où cette illustration signée Fiep Westendorp, où figurent ses héros Jip et Janneke, dont je suis fan.