Berlin

J’aime beaucoup les illustrations mettant en scène des villes. Et celle-ci, en noir et blanc et en couleur à la fois, est tout à fait dans mes goûts. Dommage qu’il ait été impossible de retracer le nom de l’artiste.

J’aime beaucoup les illustrations mettant en scène des villes. Et celle-ci, en noir et blanc et en couleur à la fois, est tout à fait dans mes goûts. Dommage qu’il ait été impossible de retracer le nom de l’artiste.

Je n’aime ni l’hiver ni la neige, ce n’est pas un secret pour qui fréquente le pays de Lali. Mais je dois avouer que le moulin du hameau de Marie-Antoinette tout de blanc vêtu, photographié par Renée Johnson, a un certain charme.

Alors que je viens à l’instant de valider les textes que vous avez déposés sur l’illustration de dimanche dernier, je vous propose cette semaine de faire vivre cette illustration de l’artiste russe Ksenia Opakova, à propos de laquelle je n’ai rien trouvé.
J’ai d’abord eu envie d’écrire à partir de celle-ci, avant de la laisser à vos soins. Question de vous me racontiez peut-être ce que vous aimeriez lire ici en inventant une histoire me mettant en scène, car je m’imagine aisément dans la peau de cette écrivaine. Pourquoi pas?
À vous de jouer. La suite vous appartient. C’est avec plaisir et curiosité que nous vous lirons dans une semaine, et pas avant, au moment de la validation en bloc des textes déposés.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.

Comme vous le voulez… Belle façon d’entamer mes vacances que de me souhaiter de prendre mon café comme je le souhaite. Sera-ce un bol de café au lait ou un capuccino? J’hésite entre les deux.
La carte envoyée de Corée du Sud par Soi ne mentionne pas le nom de l’artiste. Dommage. J’aurais aimé découvrir davantage l’artiste qui a signé cette invitation à profiter de chaque petit moment de plaisir.

J’ignorais que la maison où a vécu Vincent van Gogh, pas très loin de Mons, pendant près de deux ans, était ouverte au public. Mon amie Sofia me l’a appris grâce à une carte postale, qui me donne envie de voir cet endroit un jour…

Chaque poème est une écorce arrachée qui met les sens à vif. (André du Bouchet)
*illustration de Rita Cardelli

Ce qu’il est beau, le costume national de la Hongrie. Est-il encore à l’honneur à l’occasion de fêtes ou pas? J’espère pour ma part qu’il n’est pas disparu.
Rosalia, dont la famille avait fui le pays en 1956 ou 1957 pour s’installer au Canada, et qui a été dans ma classe pendant quatre années du primaire, l’a-t-elle jamais porté?

Une fort jolie illustration sur carte postale, signée Valeria Docampo, tirée de son album La grande fabrique de mots, qui s’ajoute à celle-ci.

L’été vient tout juste de débuter en Australie, comme l’a souligné Yuliya, expéditrice de cette carte reproduisant une affiche touristique d’une autre époque. Ici, c’est plutôt le froid qui s’est installé. Pas étonnant que je rêve d’une plage comme celle-ci…

Le chagrin n’est pas un signe de faiblesse, c’est ce qui fait de nous des êtres humains. (Cassandra Clare)
*illustration de Pete Revonkorpi