L’un est ouvert, l’autre fermé. Quel recueil est celui de Marina Tsvetaïeva? Est-ce celui de gauche? Et si c’était celui de droite? L’autre serait évidemment celui d’Anna Akhmatova.
Une bien jolie composition pour qui aime la poésie comme je l’aime.
Pour débuter novembre, je vous propose de nous raconter en vos mots ce que ce dessin d’André Franquin, mettant en vedette son célèbre personnage, Gaston Lagaffe, vous inspire.
Libre à vous d’écrire une courte nouvelle ou un texte poétique, il n’y a pas de règles au pays de Lali. C’est avec plaisir que nous vous lirons dans sept jours et pas avant, au moment de la validation des commentaires.
La vie serait-elle en train de redevenir un peu normale? Serais-je enfin en train de trouver du temps pour ces petits plaisirs qui m’animaient il n’y a pas si longtemps?
Chercher des images, écrire des billets, lire et même rendre compte de mes lectures, je me souhaite de trouver le temps de faire tout cela et de partager à nouveau avec vous mes découvertes. Comme ces dessins d’Amanda Oleander,
Grandma Moses avait 78 ans quand elle a commencé à peindre, m’a raconté Paul, qui vit dans le Vermont, à quelques heures de Montréal, et qui me suggère de visiter le Bennington Museum pour voir cette toile de près, entre autres. Une idée qui ne me déplait pas et que j’ajoute à ma liste…
Lorsque j’ai séjourné au Chelsea Hotel de Toronto, en janvier 2019, les fenêtres étaient si gelées que je n’ai rien pu voir à travers celles-ci. Grâce à une carte postale, je découvre ce qu’il m’aurait été possible d’admirer de la terrasse sur le toit. Pas mal.
Voilà bien six mois que mon amie Sofie m’a envoyé cette carte postale représentant une petite partie de la boutique d’un antiquaire de Zurich spécialisé dans tout ce qui se rapporte à la musique, une photo prise par Martina Issler, dont j’aime beaucoup le travail.
Chaque fois que je le regarde, car je ne l’ai pas rangée, préférant la laisser à proximité de mon espace de travail, je me dis que quelque part, pas très loin, l’un de mes deux amis mélomanes, Armando et Sylvain, est en train de fouiner, à la recherche d’un trésor dont lui seul pourra estimer la rareté. Et cela me fait sourire.
Grâce à une carte postale envoyée par Akiko, j’ai découvert le travail de l’illustratrice Moe Nagata, aussi auteure d’albums jeunesse, qui ne sont hélas! pas traduits en anglais ou en français. Dommage. J’aurais aimé aller au-delà de cette image.