Connaissez-vous Tianzifang?

Si vous vous rendez un jour à Shanghai, vous devez absolument vous arrêter dans le quartier de Tianzifang, m’a-t-on dit. Ce café, qui s’y trouve, donne en effet envie qu’on s’y attarde un peu.

Si vous vous rendez un jour à Shanghai, vous devez absolument vous arrêter dans le quartier de Tianzifang, m’a-t-on dit. Ce café, qui s’y trouve, donne en effet envie qu’on s’y attarde un peu.

Ne serait-il pas agréable d’aller voir les moulins de Zaanse Schans de près?

Si vous passez par la Charente-Maritime, arrêtez-vous à Brouage, qui fait partie des plus beaux villages de France. Samuel de Champlain y serait né. Pas étonnant qu’on y trouve la rue du Québec, à l’honneur sur cette carte postale.

Alors que je viens à l’instant de valider les textes déposés sur la toile de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire, je vous propose cette semaine de faire vivre cette illustration numérique signée James Matth.
Aucun commentaire ne sera visible avant dimanche prochain. Vous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes sans prendre connaissance des textes des autres envosmotistes.
C’est avec plaisir que nous vous lirons dans sept jours. D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à celles et ceux qui fréquentent le pays de Lali.

J’ai eu beau chercher, je n’ai trouvé que des affiches et des cartes postales où il est question de l’élixir du Grand-Duché. Mon amie Anémone, Bruxelloise, en sait-elle plus à propos de cette liqueur de premier choix?

J’aime beaucoup les fontaines. Et avouons-le, la fontaine de Cybèle, à Madrid, qui a plus de 240 ans, est tout simplement remarquable.

L’artiste August Michiels a vécu la plus grande partie de sa vie à Ostende. Il n’est donc pas étonnant qu’il ait été inspiré par James Ensor, figure majeure de la peinture belge. Je devais d’ailleurs visiter le maison où celui-ci a vécu, qui est devenue un musée, en 2005. Mais cet été-là, le musée était fermé en raison de rénovations majeures. Je devrai donc retourner à Ostende.

J’aime beaucoup, beaucoup, beaucoup les cartes postales des éditions Tausendchön. Ces pavots ne pouvaient donc que beaucoup me plaire!

Elles portent de bien jolis kimonos, ces geishas. Dommage que je n’aie pu trouver le nom de l’artiste afin de vous en dire plus. Je ne lis pas le japonais,,,

Ce n’est pas la première fois que je reçois une carte postale mettant en vedette la Fifi Brindacier de mon enfance. Ce n’est pas non plus la première fois que j’en partage une avec vous. Et peut-être pas la dernière.