Le Chacadémicien, qu’il ne faut pas confondre avec l’Académi Chien, travaille depuis de nombreuses années à la rédaction de son Chabécédaire. Il espère que cette œuvre le rendra immortel, bien qu’elle ne comporte que quatre lettres : c h a t…
Le personnage créé par Norman Thelwell trouve toujours le temps de lire et de faire la sieste, car rien ne pousse dans son jardin! Comme il passera la semaine avec vous, vous aurez le temps de faire connaissance et de donner vie à votre façon et en vos mots à cette scène livresque.
Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes et de lire les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes, fidèles semaine après semaine ou qui se plient à l’exercice à l’occasion, et à celles et ceux qui les lisent.
Cousins félins des Gremlins, Chaperlipopette et Chapistri sont deux chalamités, responsables de nombreux méfaits domestiques. Si, dans votre maison, les objets se cassent, s’égarent ou se détraquent sans raison, soupçonnez la présence de ces chales bêtes!
Acteurs, bateleurs, jongleurs et acrobates, les chaltimbanques voyagent sans cesse dans les royaumes magiques et exercent leur art en échange de quelques menues souris.
Matou-t’à-l’égout a été surnommé l’Attila des poubelles. Ce chaton n’est pas un adepte de la toilette et encore moins de la chavonnette! Et pourtant il a plein d’mis car c’est le roi des charabistouilles et des chalembredaines.
Mon amie Sofie m’a envoyé une magnifique série de chats illustrés par l’artiste Séverine Pineaux. Une série que je connaissais et que j’aimais. C’est donc avec plaisir que je vous offre aujourd’hui douze cartes postales.
Pour commencer, les Romantichats.
« Nous sommes félins pour l’autre! » C’est la devise des Romantichats qui vivent en permanence dans la béatitude sentimentale. Le présence sur un toit apporte le bonheur à toute la maison…
Quand j’étais enfant, ma sœur et moi adorions écouter le bruit de l’océan en collant notre oreille à une conque ramenée de nos vacances à la mer. Je ne sais pas ce qu’est devenue celle-ci…