En ce jour du 14 juillet, je me devais de souligner l’événement par une carte postale où l’un des symboles de la France serait à l’honneur.
C’est donc une photo signée André Kertész (à qui le Musée des beaux-arts de Montréal a consacré un exposition il y a plus de 30 ans), intitulée Rue de Vaugirard, prise en 1931, qui a été retenue pour souhaiter à mes amis français une bonne fête nationale!
J’ignore totalement où se trouve cette décoration murale. Je sais par contre qu’elle fait une bien jolie carte postale.
Quand on parcourt la Grand’Place de Bruxelles, il y a tant à voir qu’on n’a pas vraiment le temps de s’intéresser à tous les détails. Miguel Peters l’a fait pour nous. Étonnant.
Grâce à cette toile mettant en vedette des outils qui donneront naissance à des dessins, des peintures ou des textes, j’ai découvert le travail de l’artiste Ben Schonzeit. En un mot : remarquable.
L’espoir est cette chose avec des plumes
qui est perchée dans l’âme
et chante une mélodie sans paroles
qui ne s’arrête jamais
Pour qui aime Emily Dickinson comme moi, cette carte arrivée de Wasilla (Alaska) est un magnifique cadeau.
Alors que je viens à l’instant de valider les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire et à commenter, je vous propose cette semaine de donner vie à ce tableau du peintre canadien William Brymner, et à lire sa biographie, car il est considéré comme le père de l’art moderne canadien.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous laisse amplement le temps d’écrire quelques lignes, en vers ou en prose, selon votre envie, car il n’y a pas de règles au pays de Lali.
C’est avec plaisir que nous nous retrouverons dimanche prochain pour la lecture des textes déposés et la découverte d’une nouvelle scène livresque.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Le photographe Yann Arthus-Bertrand n’a besoin d’aucune présentation. Ses photos prises du ciel ont fait le tour du monde et contribué à sa renommée. Elles ont aussi été l’occasion pour tous de voir autrement ce qu’ils pensaient connaître, comme les jardins du château de Vaux-le-Vicomte. En effet, on ne les voit jamais sous cet angle quand on les parcourt.
Si nous allions faire un tour en ville? C’est ce que propose cette illustration d’une autre époque de l’artiste néerlandais Anton Pieck.
En raison de l’entrée en guerre de la France, ce qui devait en 1939 être le premier Festival international du film de Cannes n’eut jamais lieu, Mais l’affiche, une toile du peintre Jean-Gabriel Domergue, est toujours populaire, notamment en format carte postale. Un envoi de mon amie Monique, qui passe désormais plus de temps à Cannes qu’à Paris, où elle a vécu plus de soixante ans, préférant le climat méditerranéen à celui de la Ville Lumière.
En Irlande, depuis plus d’un siècle et demi, comme on peut le lire ici, les propriétaires de bars font souvent office de croque-mort. Pourtant, c’est une bière belge et non irlandaise qui s’appelle Mort subite.