Je n’ai pas cessé de me promener sur la toile afin de dénicher des toiles pour le pays de Lali et de faire des découvertes. C’est ainsi qu’au hasard d’un clic je suis entrée dans l’univers de l’illustratrice Sonia Cavallini.
Je suis fan du travail de Dale Chihuly, que je ne cesse de découvrir avec émerveillement. Je ne pouvais donc qu’être ravie de trouver cette carte postale dans ma boîte aux lettres. Ce chandelier, créé en 1996, fait partie de la collection du Saint Louis Art Museum.
Une fois de plus, une carte postale aura été l’occasion de me donner la chance d’aller plus loin qu’une recherche sommaire. Ce que j’adore.
Si le fameux Jamaica Inn, en Cornouailles, a servi de décor au film de Hitchcock, adapté du roman éponyme de Daphne du Maurier, dont je conserve un souvenir un peu flou, c’est aussi une chanson de Tori Amos, dont je garde aussi un très vague souvenir et que j’ai eu plaisir à écouter à nouveau,
Les cartes postales n’en finissent pas de me faire voyager d’une façcon ou d’une autre.
Déjà lundi. Déjà une autre semaine. Une semaine faite de mots et de livres. Probablement composée de davantage de mots révisés et traduits que de mots lus pour le simple plaisir. Mais de mots.
J’ai beaucoup d’admiration pour ces artistes qui prennent le temps de fabriquer des cartes postales personnalisées. Celle-ci, envoyée par Erika, qui m’est parvenue quelques jours après mon anniversaire, avait été créée spécialement pour moi afin de célébrer l’occasion en musique.
Alors que je viens à l’instant de valider les commentaires déposés sur le précédent En vos mots avec un retard de deux semaines, je me dois de remercier Armando et Anémone, qui ont envoyé leurs textes à nouveau, car ils n’ont pu être récupérés, la plus récente sauvegarde ayant eu lieu quelques heures avant leur envoi, et de vous inviter à lire leurs textes.
Je vous propose aussi de participer à En vos mots régulièrement ou ponctuellement, car c’est là l’occasion de faire vivre des toiles, des illustrations et des sculptures portant sur les livres et la lecture. Pour le simple plaisir de le faire
Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc amplement le temps d’examiner l’illustration de Jonathan Bartlett sous tous les angles avant d’écrire quelques lignes,
D’ici là, bonne promenade au pays de Lali et bonne semaine à chacun et chacune d’entre vous!
Cette carte postale envoyée de Slovaquie n’est pas seulement venue agrandir ma collection de cartes portant sur les livres, les lecteurs et lectrices, les bibliothèques et les librairies. Elle a aussi été l’occasion de poursuivre ma réflexion autour du contenu de ce blogue.
Résultat : j’ai constaté que j’ai très rarement publié des comptes rendus de mes lectures au cours des dix-huit dernières mois. Faute de temps et d’envie, probablement.
Je n’ai pourtant pas cessé de lire et de prendre des notes. Il serait donc plus que temps que je recommence à vous faire part de mes impressions.
Les cartes postales demeureront présentes au pays de Lali, il va sans dire. Mais je crois qu’il sera davantage question de livres. Comme ce fut le cas pendant si longtemps.
Mon absence forcée aura donc été bénéfique. Enfin, à vous d’en juger!
Ne pas avoir accès au pays de Lali pendant plus de dix jours m’a donné l’occasion de réfléchir à ce que je voulais faire de ce blogue qui aura seize ans dans deux mois si je pouvais y avoir accès à nouveau. À comment je l’animerais, à ce que je changerais, au temps que je lui consacrerais.
Maintenant que c’est chose faite, et que j’en suis si heureuse, comme je suis une lève-tôt, pourquoi ne pas, alors qu’il fait encore noir, écrire un billet qui parlerait de moi et qui serait l’occasion de partager une anecdote pour ne pas l’oublier?
C’est ainsi qu’est née l’idée de cette nouvelle rubrique qui sera bien évidemment ponctuelle.
Pour l’heure, je vais continuer à repenser le pays de Lali et vous inviter à vous promener ici et là, car je sais que vous êtes nombreux à venir d’apprendre son existence en raison du récent incident qui a bouleversé ma vie.
Pour ma part, je vais m’offrir un bol de café et rêver que je prends la place de cette lectrice imaginée par Ashikin Hussin.
J’aime les machines à écrire. Beaucoup. Énormément. Et celle que je préfère est celle qui se trouve au pays de Lali.
Celle-ci, envoyée de Finlande, a tout de même tout pour me plaire, d’autant plus qu’elle marque le retour des publications après plus de dix jours d’absence.