Un dimanche avec Jacques le fataliste 2

S’il faut être vrai, c’est comme Molière, Regnard, Richardson, Sedaine; la vérité a ses côtés piquants, qu’on saisit quand on a du génie. (Denis Diderot)
*toile de Toby Wiggins

S’il faut être vrai, c’est comme Molière, Regnard, Richardson, Sedaine; la vérité a ses côtés piquants, qu’on saisit quand on a du génie. (Denis Diderot)
*toile de Toby Wiggins

Comme c’est aujourd’hui la fête des Jacques, le pays de Lali a choisi de mettre à l’honneur Jacques le fataliste, le personnage créé par Diderot au moyen de quelques citations extraites du roman et offertes par des lecteurs, en commençant par celui de l’artiste Mona Wolfs.
Pour débuter, cet extrait : Si l’on ne dit presque rien dans ce monde, qui soit entendu comme on le dit, il y a bien pis, c’est qu’on n’y fait presque rien, qui soit jugé comme on l’a fait.

Je préfère les chats aux chiens, et de loin. C’est d’ailleurs un secret de Polichinelle. Mais je fonds devant ces adorables chiots samoyèdes qui me rappellent ma petite Milkie que j’adorais.

« Les livres sont mes cathédrales », affirmait Henning Mankell. Pour ma part, je m’installerais volontiers quelques heures dans la salle de lecture de la British Library qu’on voit ici. Vous aussi?

Le temps d’une carte postale envoyée par Pietro, me retrouver en pleine représentation théâtrale, en compagnie d’Arlequin et de Colombine, personnages principaux de la commedia dell’arte. Et me dire que le théâtre commence à me manquer un peu.

La douleur a beaucoup de défauts, mais au moins une qualité : elle réunit. (Virginie Grimaldi)
*toile de Karl Ferdinand Sohn

À l’occasion de cette journée où les Belges souligneront sûrement leur fête nationale avec tristesse, mais avec la solidarité dont ils ont fait montre depuis quelques jours, tout comme les Allemands et les Néerlandais dans la même situation, j’ai choisi de partager avec vous cette carte postale envoyée par Isabelle, mettant à l’honneur une illustration de l’artiste Laure Allain.

Le monde n’a pas besoin de gens qui rêvassent ou qui passent à côté de leur existence, mais de rêveurs aux pieds fermement ancrés dans la terre et qui peuvent ainsi décrocher les étoiles! (Axel Sénéquier)
*toile d’Abraham Solomon

Pour accompagner cette jolie carte postale qui m’a été envoyée du Japon, un peu de musique.