La maison rouge

J’aurais bien voulu trouver quelque chose à propos du peintre finlandais A.-L. Mykkänen, notamment d’autres toiles, mais mes recherches ne m’ont conduite nulle part. Aurez-vous plus de succès que moi?

J’aurais bien voulu trouver quelque chose à propos du peintre finlandais A.-L. Mykkänen, notamment d’autres toiles, mais mes recherches ne m’ont conduite nulle part. Aurez-vous plus de succès que moi?

Je n’ai pas encore visité Halifax, mais ça viendra. Par contre, j’ai vu le Queen Mary 2 à Québec il y a quelques années. Cette carte postale ne pouvait donc que me faire très plaisir.

Quand le monde est vraiment sombre, une phrase, un sourire inattendu, un oiseau qu’on regarde par la fenêtre peuvent à eux seuls, vous remonter le moral, et vous faire, pour un moment, oublier la douleur, cette douleur où le cœur se rétracte, se recroqueville avant de recommencer à grandir. Se contenter de ce qui existe peut beaucoup vous aider dans les périodes difficiles. (Rana Ahmad)
*toile d’Yvonne Zomerdijk

Pour souligner la Saint-Patrick, j’ai choisi cette carte que m’a envoyée de Dublin Brian, l’un de mes deux correspondants irlandais. Et comme il y a tellement d’interprétations intéressantes de cette chanson traditionnelle, je n’ai pas voulu m’arrêter à en choisir une, préférant vous laisser fouiller un peu et dénicher celle qui vous plait le plus.
Par contre, vous ne quitterez pas ce billet les mains vides. Voici toutes les paroles de cette vieille chanson irlandaise :
If you ever go across the sea to Ireland
Then maybe at the closing of your day;
You will sit and watch the moonrise over Claddagh
And see the sun go down on Galway Bay
Just to hear again the ripple of the trout stream
The women in the meadows making hay;
And to sit beside a turf fire in the cabin
And watch the barefoot gossoons at their play
For the breezes blowing over the seas from Ireland
Are perfumed by the heather as they blow;
And the women in the uplands digging praties
Speak a language that the strangers do not know
For the strangers came and tried to teach their way,]
They scorned us just for being what we are;
But they might as well go chasing after moonbeams
Or light a penny candle from a star
And if there is going to be a life hereafter
And somehow I am sure there’s going to be;
I will ask my God to let me make my heaven
In that dear land across the Irish Sea

Lorsqu’il tombe une étincelle de l’amour dans un cœur, elle l’anime ; mais si l’amour en approche son flambeau, il le consume. (Claude-Adrien Helvétius)
*aquarelle de Mona Wolfs

Le temps d’une carte postale, allons à l’autre bout du monde. À Sorrento, pour tout vous dire. Mais pas en Italie. En Australie. Au cœur de la péninsule de Mornington. Un endroit que m’a fait découvrir Inge. Ça fait rêver, non?

J’aime beaucoup les cartes postales britanniques qui reproduisent des timbres. Et quand le timbre porte sur un thème littéraire, encore plus! Charlotte a donc fait un excellent choix en m’envoyant cette carte mettant en vedette un timbre célébrant Le seigneur des anneaux, émis en 2004.

Certains se font de la poésie une idée si vague qu’ils prennent ce vague pour l’idée même de la poésie. (Paul Valéry)
*toile de Federico Zandomeneghi