Un dimanche au château de Fontainebleau 5

Qu’il s’agisse de l’escalier du roi ou du boudoir de la reine, il y a tant de détails à examiner…


Qu’il s’agisse de l’escalier du roi ou du boudoir de la reine, il y a tant de détails à examiner…


Ça y est, c’est l’automne. Il n’y a aucun doute possible. Oui, c’est bie l’automne. Ici comme au jardin du Luxembourg, dans cette scène livresque peinte par Aurore Texier, que je vous invite à faire vivre en vos mots.
Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous laisse amplement le temps de lire les textes déposés sur la toile de dimanche dernier et d’écrire quelques lignes que nous lirons avec plaisir dans sept jours.
D’ici là, profitez de la beauté de cette saison avant que toutes les feuilles ne tombent!

Musique! Nous voici maintenant dans la salle de bal.

Comme j’aimerais voir la bibliothèque du château, aussi connue sous le nom de galerie de Diane, de près. Pas vous?


Découvrons la galerie François 1er et la galerie des Assiettes, laquelle met en valeur un service de Sèvres datant de 1840.


Je n’ai jamais vu le château de Fontainebleau autrement que sur cartes postales ou sur petit écran, mais j’ai rencontré il y a plus de trente ans Tiphaine Samoyault, qui y a grandi, son père en étant le conservateur. J’ai donc envoyé quelques lettres au château lorsque Tiphaine est rentrée en France après une année d’études à Montréal. Nous recroiserons-nous un jour? Nul ne peut le dire. Mais aujourd’hui, grâce à une série de cartes postales récemment acquises, je vous propose de visiter ce château.

Franchissons d’abord les grilles napoléoniennes et traversons la cour des Adieux. L’escalier du Fer à cheval n’attend que nous.


Il suffit de quelques timbres et de voiliers réunis sur une carte postale pour avoir envie de prendre le large…

Avant cette carte postale, je ne connaissais pas le peintre flamand Jan Frans van Dael. Il était temps qu’il croise ma route, lui qui a peint des bouquets rien de moins que magnifiques.

La poésie nous nourrit, nous apaise, elle intériorise nos émotions. (Frédéric Lenoir)
*toile de Michael Lane

Suis-je passée devant l’hôtel de Vögué en 1981 lors de mon après-midi à Dijon? Probablement. Il y avait tant à voir, tant de lieux où l’Histoire s’était arrêtée, et tout me paraissait extraordinaire, d’une toiture à une porte, en passant par le sourire de Christine que je rencontrais enfin.