Lali

Le nom de Michael Oondatje n’est pas aussi connu que le titre d’un film tiré d’un de ses romans. C’est en effet l’écrivain canadien, originaire du Sri Lanka, Michael Oondatje qui a signé le roman Le patient anglais. Et comme il fêtait hier son anniversaire, lecteurs et lectrices ont décidé de profiter de la fin de l’été pour s’asseoir dehors et partager avec vous quelques-unes de ses citations. En commençant par celle choisie par la lectrice de Pascual Carlos Esteban : Pleurer fait perdre plus d’énergie que toute autre activité.

Parmi les endroits marquants de mon enfance et de mon adolescence, il y a Cape Cod, et notamment Provincetown et son Monument des Pèlerins (Pilgrim Monument) qu’on peut voir au loin, au bout de la plage, dans cette photo prise par John H. et Mouncey Ferguson.

La carte envoyée par Chris ne pouvait donc que me faire extrêmement plaisir.

Une superbe photo signée Johan Swanepoel.

Quand on a soif d’amour, il ne faut pas nécessairement se précipiter sur une gourde. (Noctuel)

*toile d’Elaine Treisman

Pas moyen de trouver quoi que ce soit sur le peintre breton Jean-Claude Hélou. Mais ce n’est pas cela qui m’empêchera de partager avec vous cette superbe toile que m’a envoyée Anne Marie.

Une vie n’est que l’empilement de tout un fatras de choses, bonnes ou mauvaises, goûteuses ou fades, et la dernière que l’on pose sur le tas fait s’écrouler l’ensemble et elle s’arrête là. (Patrice Gain)

*toile de Roberta Imperatori

Un endroit où je m’installerais volontiers que la roseraie de Baden-Baden. Une excellente suggestion de Peter qui a choisi cette carte postale pour moi.

Le critique, c’est celui qui connait la route, mais qui ne sait pas conduire la voiture. (Kenneth Tynan)

*toile de Michael Hafftka

Je n’ai jamais vu Monte-Carlo à vol d’oiseau. Je n’ai pas non plus sillonné ses rues. Et je ne connais du casino qu’en photo et par l’entremise du cinéma. Mais j’aime cette histoire que mes parents m’ont racontée il y a longtemps. Un des meilleurs moments des quelques heures passées à Monte-Carlo a été pour eux la rencontre d’un confrère pharmacien dans son officine au charme vieillot. Je me demande parfois si ce lieu existe encore…

Les feuilles d’automne ne tombent pas, elles volent. Elles prennent leur temps, errent un moment, car c’est leur seule chance de jamais s’élever dans les airs. (Delia Owens)

*toile de Teresa Witz