Lali

Quand l’aventure d’En vos mots a débuté, je ne savais pas dans quoi je m’aventurais. Je ne savais pas plus si elle allait plaire et si j’allais recevoir des textes chaque semaine.

Treize ans plus tard, je puis affirmer que ce fut un succès. Pas un seul dimanche sans texte à valider, et chaque fois un d’Armando, qui a été au rendez-vous semaine après semaine. Et depuis trois ans, toujours un d’Anémone. Et de temps en temps, un ou deux de plus. Pas sept ou huit comme au début, mais tout de même au moins deux. Il y a de quoi se réjouir.

Aujourd’hui, c’est une illustration mettant Paris à l’honneur, signée Babette Koenig, que je vous propose. À vous désormais de lui donner vie à votre façon. Mais il n’y a pas d’urgence, car aucun texte déposé ne sera validé avant dimanche prochain.

Cela vous laisse donc plus que le temps d’écrire quelques lignes et de lire les textes déposés sur la toile de dimanche dernier. D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à ceux qui les lisent.

Embarcation – toile d’Alex Colville (1994)

Berlin bus – toile d’Alex Colville (1978)

Véranda – toile d’Alex Colville (1983)

Le 24 août 1920 naissait le peintre canadien Alex Colville auquel le Musée des beaux-arts de Montréal avait consacré une exposition en 1984. C’est à cette occasion que j’ai découvert cet artiste exceptionnel, qui n’a cessé de m’étonner et de me ravir depuis.

Il n’y aura donc aujourd’hui ni citations, ni cartes postales, ni anecdotes. Que des tableaux de cet artiste qui nous a quittés en 2013, laissant derrière lui des centaines de toiles toutes remarquables, en commençant par celle-ci, datant de 1962, intitulée Départ.

Quelle joie de trouver dans ma boîte aux lettres cette très jolie maxicarte en provenance de Slovaquie, que m’ont envoyée Gregor et son papa, où le quartz à l’état brut est mis à l’honneur!

Cette photo prise en 1921, qui fait partie du fonds de l’agence Roger-Viollet, que m’a envoyée Sabine, est tout simplement craquante. C’est aussi votre avis?

Dans le désert on ne classe pas les choses en faciles et difficiles, mais en possibles et impossibles. (Santiago Pajares)

*illustration de Xenia Rassolova

Ma fascination pour les toiles du peintre belge Paul Delvaux date d’il y a longtemps. Probablement en raison d’une carte postale envoyée par Karine, l’une des correspondantes belges de mon adolescence avec qui je suis toujours en contact grâce aux réseaux sociaux.

Claire, qui m’a envoyé cette carte postale où figure son tableau intitulé Les ombres, ne connaissait pas ma passion pour le travail de cet artiste, et encore moins le fait que j’avais vu Antheit, où il est né, en 2005. Heureux choix.

Être grand-parent, c’est le dessert de la vie… (Nicole Lambert)

*toile de Carl Larsson