Lali

Comme j’ai eu un véritable coup de cœur pour cette illustration signée Gabi Baracsi, j’ai eu envie de vous l’offrir pour ce nouvel En vos mots afin que vous puissiez lui donner vie, comme vous le faites dimanche après dimanche depuis plus de onze ans.

Mais il n’y a pas d’urgence, car aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous donne amplement le temps de lire les textes déposés sur la scène livresque de la semaine dernière et d’écrire quelques lignes.

D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!

Un blogue portant sur des albums de jazz et de blues récents comme moins récents, qui devrait plaire à au moins l’un d’entre vous!

*toile de Leslie Graff

Que diriez-vous d’une visite sur le site du Festival international de jazz de Montréal?

*toile de Leslie Graff

Pour continuer notre voyage au pays du jazz, un blogue portant sur les dernières nouvelles du jazz.

*toile de Leslie Graff

Comme c’est demain la Journée internationale du jazz, j’ai décidé pour la souligner de vous offrir au fil de cette journée des articles et des sites portant tous sur ce sujet inépuisable, en commençant par cette histoire du jazz en 17 chapitres.

Pour les illustrer, j’ai fait appel à des toiles de Leslie Graff représentant toutes des bibliothèques, car il m’a semblé évident que chacun des rédacteurs des sites et blogues que je vous inviterai à lire au cours de cette journée a fait appel à des livres pour écrire.

Et que ça jazze!

Hommage

À toutes les choses évanouies
à la vertu des lignes nues
à la lune qui se noie
au langage des étoiles
aux fruits abandonnés
dans la mémoire des arbres
à ceux qui émergent de l’obscur
au suicide de la lumière
aux lettres d’amour que personne jamais ne reçoit
à ceux que le temps
entraîne hors du temps
à l’étranger qui marche vers la nuit
aux êtres et aux choses
que les nommer plus personne n’ose
aux raisons que chacun a de vivre
à la maison qui se pose sur les ombres
à la beauté de toutes rencontres
au bonheur longtemps cherché
qui preste s’évanouit
à l’ultime porte franchie
aux remparts de la ville
à l’espoir qui en nous rejaillit
à ceux qui résistent encore
à la poésie qui nous rends humains
dans les poing fermé du monde.

Jean-François Sabourin, Mots et maux

*choix de la lectrice de Frank Gordon

(photo d’Andy Small)

Rien de tel que des coquelicots pour égayer ma boîte à lettres et me procurer un sourire grand comme ça. Leena, en Finlande, qui m’a envoyé cette carte, le sait bien puisque nous avons échangé quelques cartes au fil des ans dont plusieurs avec des coquelicots.

Qui parle de bonheur
A les yeux tristes
Le cœur brisé
Parce que être heureux
C’est devenir un poème
Que récitent les amants
Avant de se séparer

Tahar Ben Jelloun, Que la blessure se ferme

*choix de la lectrice d’Elizabeth Colomba

(photo d’Udo Haafke)

J’ignore où a été prise cette photo que m’a envoyée Sigs, qui vit en Bavière. Mais je sais qu’elle a visé juste : j’adore les volets.

L’amour est transparence, c’est la puissance de l’un qui provoque la puissance de l’autre, c’est vouloir plonger pour pouvoir ensuite s’envoler. (Sylvie Sicotte)

*toile de Julio Romeo de Torres