Les étreintes 3
Un visage
Il ouvre la maison
Déserte depuis si longtemps
L’odeur de la chambre
Comme un grimoire se déroule
Suie poussière et
Ombre
Un visage sur lui se penche
Sans lèvres
Sans un souffle
Un rai de soleil dépose
Peut-être pour lui
Un baiser
Gérard Bocholier, Les étreintes invisibles
*choix de la lectrice de Marchesi (dont toute trace a disparu)