Nudités 14
Le silence
D’or peut-être si l’on sait ce qu’il cèle
Et d’ombre assurément sur sa lancée si
L’essence de la parole est de s’y adosser
Comme s’y posent les oiseaux des secrets
Le grand oubli le regret de n’avoir pas su
La douceur de vivre aussi dans la solitude
Car on y entend tout la symphonie intime
La pulsation la peau ce qui est pour la mer
L’impossible
Alain Duault, Nudités
*choix de la lectrice de Gabriel Metsu


