Un dimanche avec Coluche 8
Ce ne sont pas ceux qui courent le plus vite qui sont les plus pressés. (Coluche)
*toile de John Hesselius
27 octobre 2013
Un dimanche avec Coluche 7
Des idées, tout le monde en a. Souvent les mêmes. Ce qu’il faut, c’est savoir s’en servir. (Coluche)
*toile de Dave Turner
Un dimanche avec Coluche 6
L’instabilité est nécessaire pour progresser. Si on reste sur place, on recule. (Coluche)
*toile de Lovis Corinth
Un dimanche avec Coluche 5
Aucun cheval de course n’est capable de filer aussi vite que l’argent qu’on a misé sur lui. (Coluche)
*toile d’Eastman Johnson
En vos mots 342
Une fois de plus, une scène livresque vous est offerte afin que vous la racontiez en vos mots. Celle de ce dimanche est signée Robert Crawford.
Puisse-t-elle inspirer plus d’un d’entre vous au cours de cette semaine où la toile sera vôtre afin que vous puissiez l’examiner sous tous les sens. En effet, je ne validerai aucun des textes reçus avant dimanche prochain.
D’ici là, que l’imagination soit au rendez-vous.
Bon dimanche et bonne semaine à tous!
Un dimanche avec Coluche 4
Dans l’administration, on ne doit pas dormir au bureau le matin sinon on ne sait plus quoi faire l’après-midi. (Coluche)
*toile de Giuseppe Nogari
Un dimanche avec Coluche 2
C’est pas dur la politique comme métier! Tu fais cinq ans de droit et tout le reste c’est de travers. (Coluche)
*toile de Klavdyi Lebedev
Un dimanche avec Coluche 1
Coluche ayant vu le jour un 28 octobre, le lecteur peint par Patrick Allan-Fraser s’est dit que nous n’étions pas à une journée près et que c’est toujours le bon jour pour dérider ceux qui sont très (trop?) sérieux. C’est donc ce que nous ferons aujourd’hui : faire rire, à tout le moins sourire, quelques lecteurs qui en ont besoin, en leur proposant certaines phrases de Coluche qui savait voir les travers de notre société comme peu, en commençant par celle-ci :
Tout le monde a des idées: la preuve, c’est qu’il y en a de mauvaises.
26 octobre 2013
Quelques jours avec Rosalie 3
comment recycler les secondes
sans repos
une à une en boucle avec le regard sans recul
à la dérive l’écho revêt-il
le cri défait
comment revenir tel que parti
Rosalie Lessard, La chair est un refuge plus poignant que l’espace
*choix de la lectrice de Josephine Mary Muntz Adams