Lali

23 février 2009

Ciel suisse

Filed under: Vos traces — Lali @ 10:05

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Et si je sortais un peu pour la pause? Peut-être y a-t-il sur Montréal un morceau de ciel qui ressemble au ciel suisse de Denise?

La chasse aux oiseaux

Filed under: Vos traces — Lali @ 6:43

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Elle a fait le tour des cabanes d’oiseaux et des nichoirs pour les trouver. Mais les oiseaux suisses avaient déserté… C’était sans compter sur l’acharnement de Denise. Les oiseaux étaient bien là, mais ailleurs, et ce n’est que quand elle a pu prendre quelques photos qu’elle est rentrée. Non, mais, notre amie n’allait pas rentrer bredouille de sa chasse aux oiseaux!

Pour vous inspirer

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 6:01

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L’artiste Jenny Wheatley a pensé à tout. Elle a d’abord rangé les commentaires sur la toile de la semaine dernière ici. Puis, elle a laissé ailleurs la toile de la semaine qui vous est destinée. afin que vous la racontiez en vos mots. Et elle a même laissé la porte ouverte pour que vous puissiez descendre au jardin afin de vous inspirer… Oui, elle a vraiment pensé à tout!

22 février 2009

Minuits partagés 3

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

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La lectrice de du peintre hongrois Peter Gyenes aime voyager en lisant des poètes d’ailleurs. C’est donc avec bonheur qu’elle a parcouru Minuits partagés de Robert Piccamiglio et retenu ceci :

Chambre d’étoiles très étroite

Je me couche jusqu’au soir
dans une chambre d’étoiles
très étroite.

Enfermé
je ne vois plus rien
ni les trottoirs qui abandonnent
inlassablement
toujours les mêmes piétons
ni la mort des autres
puisque le rendez-vous
est fixé depuis
un bon moment déjà
et que moi-même
je n’y suis pour rien.

Qu’importe alors
le bruit serré de la pluie
ou celui plus sec du crépuscule
qui s’obstine à traverser
l’horizon à petits pas
quand il faudrait le déchirer
d’un seul cri d’amour
ou de haine
mais c’est souvent la même chose.

Quand la nuit tout à coup
s’appuie sur toutes les rues
en même temps
je me lève
et en silence je quitte
la chambre d’étoiles
très étroite.

Alors seulement
je peux me remettre en marche
personne ne me suit
ni les piétons attardés
ni la mort des autres
repartie tapiner ailleurs.

Et comme
je ne sais pas où c’est
je peux difficilement vous indiquer
la rue le numéro de la chambre
et encore moins
le nom de l’hôtel.

Je marche
je ne regarde pas les troupeaux
qui aveuglent férocement
toutes les extrémités tendues
qu’il y a dans le ciel épais
de la nuit
je regarde par terre
je ne vois rien ni personne
et c’est très bien
comme ça.

Quelques lignes de Byron 23

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 23:01

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… je ne veux être l’esclave d’aucun appétit.

(Lord Byron, Journal, 17 novembre 1813)

*toile de Paula Monje

Quelques lignes de Byron 22

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 22:01

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On commence et on finit en général platoniquement…

(Lord Byron, Lettre à Lady Melbourne, 3 octobre 1813)

*toile de Joshua Reynolds

Quelques lignes de Byron 21

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 21:01

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C’est surtout par les journées ensoleillées que je me sens porté à la piété.

(Lord Byron, Pensées éparses, No 99)

*toile de John Singer Sargent

Quelques lignes de Byron 20

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 20:01

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Je ne parviens jamais à faire comprendre aux gens que la poésie est l’expression d’une passion exacerbée, et qu’il n’existe pas de passion permanente, pas plus qu’il n’est de séismes continus ou de fièvres ininterrompues.

(Lord Byron, Lettre à T. Moore, 5 juillet 1821)

*toile de William Harris Weaterhead

Quelques lignes de Byron 19

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 19:01

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Mon grand réconfort, c’est que la célébrité éphémère que j’ai extorquée au monde l’a été à la barbe de toutes les opinions et de tous les préjugés. Je n’ai jamais courtisé les puissances dirigeantes, ni caché une pensée qui me tentait.

(Lord Byron, Lettre à T. Moore, 9 avril 1814)

*toile de Friedrich von Amerling

Quelques lignes de Byron 18

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 18:01

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Il y a pour moi quelque chose de très doux dans la présence d’une femme – une influence étrange, même si l’on n’est pas amoureux d’elle; étrange, car je n’ai pas une très haute opinion du sexe féminin; et pourtant, je suis toujours plus content de moi et de tout le reste, s’il y a une femme à proximité.

(Lord Byron, Journal, 27 février 1814)

*toile de Frederick Vezin

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