La suggestion du 24 février 2009
Qu’est-ce que l’ignorance? se demandent peut-être les lecteurs de Bonita Predny. Et s’il y avait un début de réponse ici?
Qu’est-ce que l’ignorance? se demandent peut-être les lecteurs de Bonita Predny. Et s’il y avait un début de réponse ici?
Comme la ville de Montréal est à nouveau couverte d’un tapis blanc, ce n’est pas en regardant par la fenêtre que je vais rêver, nenni! Une photo d’Armando sur l’écran, par contre, devrait redonner à ma vie quelques couleurs!
Voilà un moment que le lecteur de l’artiste Francesco Bartolozzi est plongé dans ses livres. Serait-il en train de chercher une citation pour répondre à celle qui vous a été proposée mercredi dernier? Un peu de patience, nous le saurons dans 24 heures!
C’est l’heure! Denise nous attend pour notre promenade matinale et pas question de la faire attendre!
Et s’il y a une autre vie après celle-ci, ce dont on peut douter, je la veux avec très peu de neige (une semaine, disons) et un jardin où je pourrai lire tandis que quelques oiseaux m’offriront leurs plus beaux chants.
Quoi, il n’y en a pas d’autre? Alors, tant pis, je vais fermer les yeux et m’installer dans la toile de Claude Fossoux jusqu’au printemps…
Elle, la lectrice de l’artiste Ernest Fiene, elle qui aime tant les étoiles et qui passe des heures à les regarder, ne pouvait que s’arrêter ici, sur ces vers du poète Robert Piccamiglio, tirés de Minuits partagés.
Les étoiles ont des portes
quelques fenêtres aussi
pour regarder à travers
les saisons égarées
les vieux clochers silencieux
toujours postés
dans le lointain des paysages.
Tu penses trop.
Y as-tu réfléchi?
Arrête de penser à ça.
As-tu pesé le pour et le contre?
Tu es certaine de ça?
Tu te mets à off des fois?
Comment peux-tu croire ça?
Tu penses trop, je te l’ai déjà dit.
Ça vous rappelle quelque chose? C’est qu’à vous, comme à la lectrice de l’artiste Rivka Prinz, on pose aussi ces questions. Où on vous dit que vous pensez trop.
Il suffit d’ouvrir un livre pour cesser d’entendre tout ça…
La traqueuse d’anglicismes que je suis, même s’il m’arrive d’en échapper quelques-uns à force de vivre au milieu de ceux qui les utilisent à outrance et dont certains moins flagrants que d’autres, se devait de mettre la main sur ce petit bijou qu’est Le grand glossaire des anglicismes de Jean Forest. J’ai d’ailleurs passé une partie de mon samedi et de mon dimanche plongée dedans, avec la même passion que je mets à lire certains romans, avant de le rapporter au bureau ce matin. Et je me suis tellement régalée qu’il me faudra ponctuellement partager quelques-uns de ces anglicismes avec vous, quand l’occasion s’y prêtera. Pour le plaisir de la langue française et pour celui du mot juste.
Quel univers fascinant et quel parcours exceptionnel que ceux de l’artiste José Roosevelt, né à Rio de Janeiro et établi à Lausanne, que je vous invite à découvrir ici, tout en déposant pour vous quelques exemples de ses toiles mettant en scène des personnages et des livres, qui auraient toutes des histoires à raconter…
La lectrice de Julio Saens prendrait-elle une tranche d’humour comme repas ce midi? Si oui, c’est ici qu’elle va la trouver, c’est sûr et certain!