Portrait

Portrait. Tout simplement. Tel est le titre de ce tableau de l’artiste Alice Judson. On ne saura donc pas qui est cette élégante jeune femme.
Je lui emprunterais volontiers sa veste et ses boucles d’oreilles.
Portrait. Tout simplement. Tel est le titre de ce tableau de l’artiste Alice Judson. On ne saura donc pas qui est cette élégante jeune femme.
Je lui emprunterais volontiers sa veste et ses boucles d’oreilles.
Toute destinée, si longue, si compliquée soit-elle, compte en réalité un seul moment, celui où l’homme sait une fois pour toute qui il est. (Jorge Luis Borgès)
*toile de Peder Mørk Mønsted
Un peu de bleu, un peu de blanc. Un peu de la Bretagne que j’aime tant.
Pour souligner la Journée mondiale de la carte postale qui se tient aujourd’hui, j’ai choisi ce collage fait de timbres représentant des lupins, une composition de l’artiste Kay Burrell, originaire de Seatlle, pour lequel j’ai eu un véritable coup de foudre.
Déjà octobre! Dans quelques jours, les arbres seront de plus en plus nombreux à se vêtir d’or, d’orange et de rouge. Comme dans cette illustration signée Juliana Oakley que je vous invite à faire vivre en vos mots.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous laisse amplement le temps de lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier, d’examiner l’illustration d’aujourd’hui et d’écrire quelques lignes.
C’est avec plaisir que nous vous lirons dimanche prochain. D’ici là, bon dimanche, bonne semaine et bon mois d’octobre à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Je ne me lasse pas de découvrir des artistes. Et les cartes postales demeurent une des meilleures façons de satisfaire une partie de ma faim. C’est donc avec plaisir que j’ai fait connaissance avec l’artiste portugais José Malhoa grâce à ce tableau qui a pour titre Maïs au soleil.
Certaines cartes nous ramènent parfois des années en arrière. C’est le cas de celle-ci, un bel envoi d’Anémone.
C’est en mars 1985 que j’ai passé une journée à Delft, ville natale de Johannes Vermeer, dont la présence plane toujours dans chaque boutique de soiuvenirs. Mais aussi dans les rues où il a inscrit ses pas, y puisant des idées, nourrissant son imagination.
Tiens, je reverrais volontiers Delft.
Parce que le goût est une affaire de mémoire, on n’oublie jamais les saveurs de son enfance. (Olivier Auroy)
*illustrations de Lisa Fields
Elle chantonne et remonte le temps. Un certain 28 septembre, il y a de cela 41 ans, dans une salle de spectacle de Montréal, Yves Montand chantait pour elle Les feuilles mortes.
*toile signée Henri Rondel
Le temps d’une carte postale, j’ai eu 12 ans à nouveau. Grâce à la première série Arsène Lupin, qui m’a incitée à lire (et même à dévorer) tous les romans mettant en vedette le gentleman-cambrioleur imaginé par Maurice Leblanc, j’ai découvert Étretat.
Et je n’ai cessé depuis de rêver au jour où je verrais en vrai l’aiguille creuse.