L’enfance

Une fort jolie photo sur carte postale de la Lituanienne Kristina Pleckaityté. Il m’arrive bien souvent de vouloir avoir cet âge à nouveau…
Une fort jolie photo sur carte postale de la Lituanienne Kristina Pleckaityté. Il m’arrive bien souvent de vouloir avoir cet âge à nouveau…
Le rêve éclaire, retourne comme un plat la face cachée du monde, balaye devant la porte certain passé accroché à la pierre, dissout l’illusion, et le seuil familier sur lequel on jouait disparaît sous les pieds comme une région fossile appartenant à un autre temps. (Christina Mirjol)
*toile de Jean-Jacques Venturini
Pas de 2CV pour prendre la route, mais c’est bien la route des vacances que nous avons prise ce matin. La carte envoyée par Anne fin avril était prémonitoire.
Ville pavoisée. Un tableau de Paul Klee sur carte postale. L’occasion de vous inviter à (re)lire ce vieux billet.
Le 6 juin 1944, date du débarquement des forces alliés en Normandie, fut une date décisive pour ce qui devait mener à la fin de la guerre. Le voici raconté en quelques cartes postales dénichées au fil des ans.
Et si vous souhaitez en savoir plus, arrêtez-vous un jour au Musée de la Victoire, à Dieppe.
J’ignore dans quelle ville cela a commencé. Je sais juste pour l’avoir lu quelque part que tous ces cadenas abîment la structure des ponts et qu’il faut les faire disparaître régulièrement. Mais j’avoue que ça fait de bien jolies photos, et par la même occasion, de très attrayantes cartes postales.
Il y a cinq ans, je vous avais invités à passer un dimanche avec l’aquarelliste japonaise Chihiro Iwasaki. Depuis, mon amie Michelle, née en Jamaïque et installée au Japon depuis quelques années, n’a pas cessé de m’envoyer d’autres cartes postales. Voici la plus récente. Karen dansant. Une pure merveille.
Déjà juin! C’est fou comme les semaines passent vite. Je me dis la même chose chaque fois que nous passons d’un mois à l’autre alors que je n’ai pas réussi à réaliser tout ce que je me promettais de faire au cours du mois qui n’est plus. Mais bon, que pouvons-nous contre le temps qui nous file entre les doigts?
Pour tenter de le retenir un peu, entrez dans une image et faites-la vivre en vos mots, le temps d’un poème ou d’une courte nouvelle. C’est ce que propose En vos mots, cette catégorie qui n’appartient qu’à vous. Et pour commencer le mois, je vous propose cette illustration de l’artiste d’origine slovaque Ivana Kozlai Laurindsen.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes et de lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier. C’est avec plaisir que nous lirons dans sept jours.
D’ici là, bon dimanche à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Celle qui m’a fait découvrir les sculptures de Yuki Kimura se reconnaîtra sûrement. De plus, elle sera sûrement ravie que je vous invite à faire connaissance avec cette artiste.