Une série que je ne verrai qu’une fois
Faut-il faire un vœu quand les aiguilles marqueront 1 heure, 2 minutes, 3 secondaires, le 4e jour du 5e mois de l’année 6 ? Une suite comme celle-là n’est pas à la veille de se répéter… mais de là à faire un vœu ? Sans y croire, juste pour le plaisir de la chose, pourquoi pas ? Et deux fois plutôt qu’une puisque l’heure fatidique a déjà sonné en Belgique et que nous avons Chantal, Carine et moi, décidé de faire un vœu.
Qu’adviendra-t-il de ce souhait du 1-2-3-4-5-6? Un souvenir? Une baliverne? Une réalité? Tout cela n’a aucune importance. Le moment et le jeu en avaient. Et nous nous sommes amusées. Voilà tout.
Car tous ces vœux que l’on fait, c’est d’une certaine façon sans trop y croire. Comme pour défier le destin. Par jeu. Souffler des bougies d’anniversaire en fermant bien les yeux pour que le vœu se réalise. Ne pas marcher sur les craques du trottoir, car ça porte malchance.
Ce souhait du 1-2-3-4-5-6 se réalisera-t-il ? Je n’y crois pas trop, voire pas du tout, mais j’ai aimé qu’à trois, des deux côtés de l’Atlantique, on fasse chacune un vœu. Juste pour le plaisir d’en faire un.