Une phrase, une seule
Elle a parfois si peur de l’amour qui s’en va sans qu’on sache pourquoi. Si peur qu’elle imagine le pire. Qu’il ne sera pas là à son réveil ou autre malheur.
Et quand la lectrice d’Igor Markovsky lui raconte tous les drames qu’elle a pu imaginer, il n’a qu’une phrase à dire pour que ses peurs disparaissent d’un coup. Une phrase. Une seule. « Tu en as d’autres, des bêtises comme ça? »
Souvent, il suffit d’une seule phrase pour changer l’état d’esprit d’une personne. Comme si une fée était passé par là !
Comment by Denise — 28 janvier 2008 @ 9:50