Lali

17 juillet 2013

Un pont 6

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

De sa main qui touche mon visage
ou de sa bouche lorsqu’elle prononce mon nom
de presque rien d’une caresse
je puise une lueur qui m’apprend à voir
C’est un éclair dans la clarté
ce rayonnement de beauté que je reconnais
le mot en soi est sublime ô beauté
et ce vide entre nous qui éclate
est une fenêtre qui ne cesse de s’ouvrir
sur le soleil même quand il pleut
.

Claude Paradis, Un pont au-dessus du vide

*choix de la lectrice de Bruce Timson

Pas de commentaire »

Pas encore de commentaire.

Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI

Laisser un commentaire