Un dimanche avec Graham Greene 7
Le désespoir est le prix qu’il faut payer lorsqu’on s’est fixé un but impossible. (Graham Greene)
*toile d’André Pinot, dont on ne trouve plus trace sur la toile
Le désespoir est le prix qu’il faut payer lorsqu’on s’est fixé un but impossible. (Graham Greene)
*toile d’André Pinot, dont on ne trouve plus trace sur la toile
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Quand dans une grande surface, je n’arrive pas à atteindre la boîte d’haricots vert, celle qui est sur l’étagère d’en haut, et bien, je regarde à droite, à gauche, et je jauge la taille des messieurs, si possible seuls (pour faire d’une pierre deux coups), sinon je demande à madame l’autorisation (genre, madame puis-je demander à monsieur). Et au monsieur seul, je lui fais mon plus beau sourire et lui demande d’avoir la gentillesse de se saisir de cette fichue boîte que je veux et que le magasin ne veut pas vendre. Mais moi je la veux… et je l’ai grâce à ces gentils messieurs, tout frétillant d’aider une aimable dame… non non là je ne lui fais pas la bise, faudrait pas quand même exagérer !
Comment by LOU — 2 octobre 2011 @ 15:22
L’impossible n’est qu’une voix de velours qui te murmure « tu n’arriveras pas! »
Comment by Pépé Zinzin — 2 octobre 2011 @ 16:44
Sans doute. Cela me laisse pensive.
Comment by Maïté/Aliénor — 2 octobre 2011 @ 16:47
Dit Pépé Zinzin entends-tu ma voix de velours ?
Comment by LOU — 3 octobre 2011 @ 12:59