Pour lire ce qui s’est passé la veille
Il a, comme chaque matin, déplié son journal dans la lumière du jour. Pas que les nouvelles soient meilleures ainsi, mais telle est son habitude. Et depuis tellement d’années que le lecteur de Miguel Carlos Victorica ne pourrait dire depuis quand. Il sait seulement que la lumière du matin lui fait chaque fois ouvrir son journal.
Et tout cela est curieux, finalement. Un nouveau jour pour lire ce qui s’est passé la veille.
Une habitude bien sympathique pour ce grand-père tellement attendrissant de lire ce qui s’est passé la veille. Pour lui, c’est l’occasion de se chauffer aux doux rayons du soleil levant et de goûter au moment présent !
Comment by Denise — 11 mars 2008 @ 12:06