Pour les yeux d’une gitane 4
Le temps qu’il faut
Elle venait toute de charme indolente
Et plus sombre encore qu’un ciel bas
Et de plus près encore qu’une éclipse
Elle venait ceinte d’images obscures
Une prémonition de bon augure
Elle venait ténébreuse
Et moi un peu abstrait
Comme d’habitude
Lucien Francoeur, Clo la gitane
*choix de la lectrice de Pierre Cornu