Neuvaine 2
Aucun fleuve de mon pays
Ne connaît de marées
À mille kilomètres de l’océan
Mais que l’Atlantique nord
Vienne à nous séparer
Et nous nous retrouverons
Dans un estuaire
Où chacun vit le flux et le reflux de l’autre
Bruno Doucey, La neuvaine d’amour
*choix de la lectrice de Sabzi