L’intraduisible amour 4
j’ai entendu ton corps sauvage
j’ai vu la nuit
nous sommes plus vastes que nous-mêmes
la mémoire s’unit au feu, à l’évidence qui tremble
l’atmosphère s’est dépliée
j’ai laissé le futur de chaque chose d’éteindre derrière moi
François Charron, L’intraduisible amour
*choix de la lectrice du peintre belge Alfred Stevens
Je suis toujours fascinée par la quantité de toiles que les peintres peuvent produire. Moi qui suis si laborieuse…
Comment by LOU — 23 février 2011 @ 14:09