Le vent sur son épaule
La fenêtre est ouverte et le vent caresse son épaule. C’est doux, si doux, ce vent frais sur sa peau après des journées de canicule où le moindre mouvement, même celui de tourner de tourner les pages, la mettait en nage. Si doux que la lectrice de Mike Bagdonas ne remontera pas la manche tombée. Qu’elle laissera le vent la caresser et tourner les pages.