Le rêveur 1
L’heure visible te gagne
et te recouvre.
Dans le sable du miroir
tu te tournes.
Te voir ne suffit plus.
Car au-delà de la brutalité du vent
l’œil inquiet accumule
la souffrance de l’eau.
L’ombre touche toujours à la cage de nos yeux
Alain Cuerrier, Le rêveur d’ombres
*choix de la lectrice de Félix Vallotton