La demi-heure de bonheur
Aucune poupée, aucune peluche, aucun jouet ne saurait remplacer cette demi-heure quotidienne où la petite est assise, attentive, fascinée par ce que sa mère lui lit. En fait, tous les jours, la petite attend ce moment, parce que c’est le plus beau de sa journée. Celui où sa mère l’emmène au pays des princesses, des dragons, des animaux qui parlent, des châteaux. Celui qu’elle tente de reproduire avec ses crayons de couleurs, comme elle ne peut pas encore lire seule.
Non, rien, pas un jouet ou une émission de télévision ne peut remplacer cette scène peinte par Andrew Lenaghan.
Voilà la position que j’ai lorsque je lis des livres aux enfants du village.
http://dlivresetdchamps.canalblog.com/archives/2006/10/18/2934537.html#comments
Comment by Bellesahi — 15 avril 2007 @ 9:05