Lali

20 novembre 2023

L’inoubliable Louise Brooks

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Elle fait partie de ma vie depuis plus de 40 ans. Vous l’avez d’ailleurs croisée au pays de Lali à quelques reprises au fil des ans.

L’occasion est trop belle. Je vous invite à relire ce billet, l’un des premiers publiés ici, lequel sera toujours d’actualité en ce qui me concerne.

8 mars 2009

Elle s’appelait Louise Brooks

Filed under: Couleurs et textures,Un peu d'histoire — Lali @ 8:01

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Elle a dansé, elle a été actrice, elle a écrit. Elle s’appelait Louise Brooks. Et tant que je ne terminerai pas ce roman commencé il y a des années autour d’elle, il y aura en moi quelque chose d’inachevé. Pour plus, c’est ici et aussi là-bas.

*toile de Richard Beerhorst

9 janvier 2023

Louise

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Celles et ceux qui fréquentent le pays de Lali savent que je suis une fan de Louise Brooks, puisque celle-ci se retrouve de temps en temps dans un article. Cette carte postale est donc à mes yeux un véritable bijou. Et pour qui veut remonter le temps, un billet qui date de 2005.

17 avril 2020

Trinquons aux années 1920

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Coup de cœur pour cette carte postale envoyée par Sabine, mettant en vedette la mode des années 1920, une de celles qu’on désignait sous le nom de garçonnes (flappers en anglais) et du champagne. Sorte de clin d’œil à l’unique et irremplaçable Louise Brooks.

29 novembre 2015

Un dimanche au pays de Lali 7

Filed under: États d'âme,Couleurs et textures — Lali @ 6:01

MACLEOD (Kat) - 1

Chacun de nous a sa propre galerie de personnages, laquelle est composé de héros fictifs comme réels. Dans la mienne, il y a Louise Brooks.

*illustration de Kat MacLeod

26 juillet 2011

À cause du titre

Filed under: À livres ouverts — Lali @ 20:37

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C’est d’abord le titre qui m’a attirée. Je l’avoue. Sans détour. Sans savoir ce qui m’attendait, c’est-à-dire un polar un peu glauque où un frère et une sœur incestueux — laquelle a la même coupe de cheveux que Louise Brooks — décident de tuer leur père afin de profiter de sa fortune ensemble, unis dans leur amour et leurs combines. Et pour arriver à leurs fins, le moyen qu’a trouvé Louise, car évidemment qu’elle s’appelle Louise, est de faire en sorte que jamais son frère ne puisse être soupçonné du parricide.

L’amant qu’elle se choisit possède donc certaines des caractéristiques physiques de son frère. Elle pourra donc prétendre, quand on l’interrogera, que le soir du crime elle mangeait avec son frère (et non son amant) alors que justement, le frère tuait son père et trois gêneurs qui auraient pu le dénoncer. Voilà un peu le tableau.

Une petite fille qui a tout vu est muette depuis le meurtre. C’est la demi-sœur des amants incestueux. Et c’est à cause d’elle, après une rencontre fortuite entre Louise et Julien, celui qui a servi de couverture sans le savoir et qui va tenter de trouver la vérité, que l’histoire va débouler. Mais où est passée la lettre d’adieu à ses enfants que le père venait de signer quand son fils est entré dans la pièce pour le tuer?

Si cette lettre n’avait pas existé et était restée une intention, j’aurais peut-être un peu cru à cette histoire. Mais encore. Ce n’est pas sûr. Trop de Ah! bon ont ponctué ma lecture.

En effet, Patrick Mosconi sait faire court afin d’arranger les choses en moins de deux quand ça fait son affaire. Mais les lecteurs ne sont pas bêtes. Ils verront bien qu’ils ont été menés en bateau et que rien ne tient la route.

15 septembre 2010

C’était au temps du cinéma muet…

Filed under: À livres ouverts — Lali @ 20:17

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Il était une fois un acteur japonais qui fut en son heure de gloire la coqueluche de tout Hollywood. Bien avant que le cinéma se mette à parler. Bien avant toutes les lois contre les Japonais. Bien avant qu’Hollywood ne devienne une usine plutôt qu’un lieu de création.

Il était une fois ce même homme, Jun Nakayama, en 1964, loin des studios d’antan, menant une petite vie bien calme qui n’a rien à voir avec celle qui fut la sienne il y a encore quarante ans et des poussières. Une vie qu’il n’évoque quasi jamais et qu’il se verra obliger d’examiner au peigne alors qu’un jeune journaliste doublé d’un scénariste prometteur le contacte. D’abord pour une entrevue. Dans un deuxième temps, pour lui proposer un rôle.

Or, si Jun n’a pas tourné depuis quatre décennies, c’est qu’il y a des raisons. Pas toutes imputables au fait que le cinéma a changé, ni aux politiques contre les Japonais. Mais des raisons moins belles, moins avouables, et qu’il vaudrait mieux ne jamais déterrer de l’oubli dans lequel les années et les morts les ont ensevelies. Des raisons que lui seul connaît ou pense connaître et que nous découvrirons au fil de ce roman de près de 400 pages, habilement construit, solide, où se côtoient les grands du cinéma (Douglas Fairbanks, Charlie Chaplin, Louise Brooks, Gloria Swanson) et des acteurs et des réalisateurs fictifs.

Un roman passionnant pour qui s’intéresse au cinéma muet par une auteure qui maîtrise visiblement son sujet et passionnée par celui-ci.

16 juillet 2010

Robin McKelle, pur plaisir

Filed under: Trois petites notes de musique — Lali @ 20:54

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Robin McKelle avait déjà fait ses preuves avec ses deux premiers albums. Mais pour la chanteuse de jazz — souvent comparée à Ella Fitzgerald — née à Rochester, dans l’état de New York (où repose à jamais Louise Brooks), pas question de s’asseoir sur ses lauriers. C’est pourquoi, avec Mess Around, elle a pris un virage soul et rythm & blues. Un album dont il avait été dit le plus grand bien ici, avec la suggestion d’écouter Cry Me a River, chanson maintes fois reprise depuis sa création par Julie London. C’est donc celle-ci de toutes les chansons de cet album remarquablement interprétées par Robin McKelle, laquelle sera au Festival de jazz de Vannes le 27 juillet, que je vous propose d’écouter. Pour le plaisir. Juste pour le plaisir.

27 janvier 2010

La suggestion du 27 janvier 2010

Filed under: Couleurs et textures,La suggestion du jour — Lali @ 12:00

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Et si la lectrice peinte par Arkady Remennik aimait comme moi Louise Brooks? Peut-être aimerait-elle aussi ce poème?

15 décembre 2009

Pour oublier ses rides et la neige

Filed under: Images indélébiles — Lali @ 6:28

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Et un matin, on a envie d’une odeur qu’on n’a pas portée depuis des années. Comme ça. Et de sa boîte on sort Loulou. Et on oublie ses rides, la neige dehors, les bottes qu’il faut enfiler. C’est l’été, on a 25 ans et on se croit aussi belle que Louise Brooks.

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