Lali

26 janvier 2020

En vos mots 668

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

Déjà le dernier dimanche de janvier! Nous nous dirigeons donc vers le printemps. Lentement, il est vrai, mais il finira bien par arriver.

Et qui dit dimanche au pays de Lali, dit En vos mots, cette catégorie qui n’appartient qu’à vous et que vous faites vivre semaine après semaine.

Aujourd’hui, alors que je viens tout juste de valider les textes que vous avez déposés sur la toile de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire, je vous propose d’entrer dans cette illustration signée Ingrid Vang Nyman, qui fut la première à mettre en images les livres d’Astrid Lindgren, afin de nous la raconter.

Ce n’est que dimanche prochain que vous pourrez lire les textes déposés d’ici là, ce qui vous laisse le temps d’écrire quelques lignes.

D’ici là, bonne promenade au pays de Lali et bonne semaine!

3 commentaires »

  1. C’est lorsque tout est trop bien rangé que l’on ne retrouve plus rien.

    Pierre

    Comment by 10Douze27 — 27 janvier 2020 @ 9:12

  2. Les soirées tombent tôt l’hiver,
    Et il n’y a rien d’autre à faire
    Que paresser, un livre ouvert,
    Ou de vaquer à ses affaires.

    Certains jours il faut faire les comptes.
    Cela demande plus de labeur,
    Et je le dis à tous sans honte:
    Moi je suis plutôt un rêveur.

    J’ai pu lire dans les journaux
    Que se pointait un nouvel âge,
    Où en plus de postes de radio,
    Nous aurions des boîtes à images.

    Je suis curieux de ce progrès
    Qui changera nos existences.
    Mais il n’aura aucun effet
    Sur mes lectures: ma préférence!

    Comment by anémone — 29 janvier 2020 @ 14:08

  3. Un jour je le sais que tu ne seras plus
    Que mes larmes viendront te remplacer
    Et que seul le tendre souvenir de nous
    M’aidera peut-être à ne pas sombrer

    J’entendrai battre mon pauvre cœur
    Dans une triste et douloureuse cadence
    Jusqu’à l’aube où les oiseaux voyageurs
    Viendront me réveiller de mon silence

    Il ne me restera que quelques dimanches
    De longues promenades en solitaire
    Et puis encore des amères nuits blanches
    Bercées par les gémissements de la mer

    Je ne ferai rien d’autre que t’attendre
    Mes étés deviendront des hivers frileux
    Jusqu’au jour béni où j’irais te rejoindre
    Pour qu’on puisse être à nouveau deux

    Comment by Armando — 1 février 2020 @ 12:32

Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI

Laisser un commentaire