En vos mots 472
Comme c’est le dimanche à 8 heures du matin, heure de Montréal, que je procède à l’accrochage d’une nouvelle toile destinée à vos mots, je me suis dit qu’il était temps que je vous offre le petit-déjeuner! J’ai donc choisi pou vous cette toile signée Sunderland Rollinson qui allie repas et lecture, puisque le journal est posé à côté de l’assiette.
La suite vous appartient. Et je me réjouis déjà à l’idée de me « régaler » de vos histoires et poèmes dans une semaine, lorsque je validerai en bloc tous les commentaires reçus.
D’ici là, bon appétit, bon dimanche et bonne semaine à tous!
Dernière nouvelle.
Plaignons ce Monsieur, qui n’a jamais pu déguster un café à son gôut.
Chez lui il ne met qu’un sucre, par mesure d’économie.
Lorsqu’il est invité, il en met trois, c’est toujpours cela de resquillé.
Jamais il n’a pu le déguster avec deux sucres comme il aurait tant aimé.
Que d’inconnus à plaindre !
Heureux, là je n’ai point vu de sucrier.
Pierre
Comment by 10Douze27 — 25 avril 2016 @ 10:29
Le toast est tombé, grillé, et nous donne à voir dans ses reflet pichet, pot de fleur, aux bouquets d’œillets de grands pains.
Il n’y a aucune assiette assise où sonnent, résonnent, les verres posés sur les journaux !
Aucune fougère en chandelier ni petit déjeuner anglais, au loin des images adjacentes…
Comment by Cavalier — 1 mai 2016 @ 2:39
Chaque jour toujours pareil
Une vie à petites doses
Longues nuits sans sommeil
Peuplées de rêves d’autre chose
Il y a tant de choses à faire
Tant de secrets à percer
Tant d’énigmes et de mystères
Qui donnent envie de s’envoler
Chaque matin les mêmes mots
Suivis du silence qui les entoure
Qui nous imprègne la peau
Et nous enchaine chaque jour
Aux choses qui nous suffisent
Dans un bonheur presque serein
Qui nous fait oublier la gourmandise
De son corps entre nos mains
Et puisque tout est immobile
Comme l’odeur du pain grillé
Que nos vies sont un fil
Que le destin viendra briser
Un bon matin la poussière
Viendra couvrir nos existences
Et pour toute trace de lumière
Un petit mot de condoléances
Comment by Armando — 1 mai 2016 @ 3:03