Lali

8 juin 2014

En vos mots 374

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

SHUPLYAK (Oleg)

La toile en trompe-l’œil signée Oleg Shuplyak propose bien des angles. En effet, s’y entremêlent une lectrice et un visage, technique qui évoque celle utilisée par Arcimboldo.

À vous de décider comment vous allez l’exploiter. Dans quelle mesure vous choisirez de privilégier l’un des deux personnages. Jusqu’où vous plongerez dans un univers dont vous ne savez peut-être rien pour le moment. C’est là l’une des surprises d’En vos mots.

Et comme le veut l’habitude, vous avez une semaine devant vous pour prêter vie à la toile du dimanche.

Amusez-vous!

4 commentaires »

  1. Trompe l’oeil ou …réalité ?

    Qui c’est celui là qui a répondu à ma place ?
    Papotage, de tout, de rien.
    « Il fera beau ? »
    « S’il ne pleut pas ! »
    Mon esprit était ailleurs,
    Mon subconscient avait ses soucis,
    Mon conscient vagabondait,
    J’était absorbé par la vue de l’agent qui louchait sur mon mauvais stationnement.
    Et… qui à répondu à cette question saugrenue ?
    Un « Moi »
    Un « Moi » ignoré, qui vit en moi, s’occupe des banalités de la vie, un « Moi » de garde.
    Mais combien sont t’ils ces « Moi » qui me font moi ?
    Comme sur cette peinture subjective, plusieurs, une foultitude ?
    Bien plus que cela…
    Qui va répondre à votre place ?
    Vous ? ou….

    Pierre.

    Comment by 10Douze27 — 8 juin 2014 @ 10:06

  2. Oh là là ! Je prends immédiatement rendez-vous avec un psy car c’est la première fois que je panique devant un fauteuil, une table, une jolie femme et quelques livres.

    Est-ce grave docteur? Parano? Schizo? Ou pire : les deux?

    Car même si la dame avait les yeux baissés toute attentive à sa lecture, j’ai eu l’impression très nette que d’immenses yeux me regardaient !

    Comment by Puff — 8 juin 2014 @ 18:53

  3. Un murmure, un chant, presque un cri
    Sous un soleil inachevé de juin
    Le dernier souffle fatigué d’une vie
    Un jour qui tire un trait sur demain

    Tant de mots s’attardent dans mes pensées
    Le souvenir des jours où tu me parlais de tout
    Tes blessures anciennes, tes filles et puis tes idées
    Quelquefois je t’aimais bien et d’autres vraiment plus

    Je t’entends encore dans ma tête et l’envie de croire
    Que tu t’es enfin endormi le cœur serein et apaisé
    Loin de tous ces fantômes qui t’empêchaient de voir
    L’amour d’un enfant sans ta morale ni tes préjugés

    On a échangé des mots tellement inutiles
    De ceux qui ne nous apportent pas grand-chose
    Faut dire mon ami qu’il n’était pas toujours facile
    De croire que tu n’aimais que les épines dans les roses

    Tu vivras dans mon cœur puisque j’étais ton ami
    Personne n’y pourra rien, c’est un destin à suivre
    Souviens-toi que nous n’avons qu’une seule vie
    Il est urgent que chacun choisisse de la vivre…

    Comment by Armando — 15 juin 2014 @ 4:45

  4. Bel hommage que ce poème, Armando.

    Comment by Lilas — 16 juin 2014 @ 3:16

Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI

Laisser un commentaire