Du piano pour rêver
L’après-midi va bientôt se terminer. Je vois par la fenêtre du bureau le ciel s’assombrir.
Je fais une petite pause de la brochure dont je suis à réviser la traduction pour écouter le piano de Robert Strickland. Les notes fusent de partout, on dirait du cristal. Et je me laisse emporter par la valse des doigts du pianiste sur les touches. Ravissement.
Je suis séduite par « Daybreak on the Desert » ou « Sunset on Santa Fe », comme toujours.
Et me voilà au soleil en plein été quelque part au sud.
Il suffit de si peu pour rêver. De si peu. Quelques contes (tales) et le jour est joué.
Merci beaucoup!
Comment by Robert Strickland — 11 décembre 2006 @ 6:39