Dijon pour l’intensité d’un moment
Quelqu’un que je connais sera dans quelques heures dans ce Dijon peint par Bruce Bingham, un Dijon que j’ai vu trop vite mais dont je conserve un souvenir impérissable. De la deuche de Christine aux rues qui m’émerveillaient par leur charme. De nos sourires à toutes les deux parce qu’enfin, nous n’étions plus des correspondantes mais des amies dont l’une entrait dans la vie de l’autre, ce que Christine a fait quelques années plus tard en me visitant à son tour. Christine, que j’espère revoir en 2007. La Picardie, après tout, c’est tout à côté de la Belgique et de la Champagne.
Dijon, c’était pour une rencontre du cœur. Un moment d’intense bonheur.
Et le bonheur, il est là, partout, inscrit, à inscrire, à s’inscrire. La chance, c’est de pouvoir le voir et le goûter. Rien d’autre.