Ces choses impossibles
C’est quand je tombe sur des romans jeunesse d’une simplicité désarmante comme celui d’Arnaud Cathrine intitulé Les choses impossibles que ma vie de libraire me manque. Car il n’y a plus personne au quotidien à qui je pourrais le vanter en dehors d’ici. Personne à qui je ne pourrais dire que c’est dans la simplicité que se cachent souvent des textes forts.
Il y a dans Les choses impossibles un voyage en compagnie de Tifas. Celui qu’il fait chaque jour, plusieurs fois par jour, à bord d’un train qui longe la mer au Portugal et où toute la journée il déchire des tickets. Puis il y a ce voyage à l’intérieur de lui-même, de ses rêves, de ses secrets, de ces choses impossibles. Impossibles? Reste à voir.
Un roman qui donne envie de découvrir l’auteur pour qui l’écriture n’est qu’une des nombreuses flèches à son arc.
J’ai deux livres de lui. J’ai terminé le premier avec une grande frustration : quand, arrivé à la dernière page, on est interloqué parce qu’on reste avec des points d’interrogation et que, même si on relit le roman, on ne comprend toujours pas. Le deuxième ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Masi je suis prête à lire celui dont tu parles…:)
J’ai rencontré l’auteur à la Foire du Livre. Il est jeune, tout simple…
Comment by Petit Poucet rêveur — 1 juin 2010 @ 10:03
J’ai aussi voyagé en compagnie de Tifas et c’était très plaisant. Surtout lorsqu’elle a commencé à avoir trop chaud et m’a demandé si elle pouvait enlever sa blouse… et je lui ai dit « ok, je ferme les yeux » ce à quoi elle a répondu : « Pourquoi, je suis si laide? »…
Comment by Pépé Titi — 1 juin 2010 @ 18:33
-Tu sais Pépé Titi que Tifas est un homme?…
-Oh zut, j’ai encore croisé un travesti…
Comment by Mémé Machin — 1 juin 2010 @ 18:35