Ce que mots vous inspirent 1
J’aime les mots, les phrases, les pensées, les citations. Et voilà des semaines que je me disais qu’il me fallait une nouvelle idée pour susciter en vous des mots. Armando m’a soufflé l’idée à l’oreille, lui qui a souvent une longueur d’avance sur beaucoup d’entre nous. Le début d’une idée, en fait. Qui a germé tant et si bien que s’ouvre aujourd’hui pour vous une nouvelle catégorie intitulée Ce que mots vous inspirent.
C’est tout simple. Le dimanche, il y a une toile pour vos mots depuis des semaines. Il y aura désormais le mercredi une phrase pour vos mots, lesquels je ne validerai que le mercredi suivant, sur le même principe.
Pour ce premier mercredi, quelques mots, que je laisse à vos soins, une pensée de mon ami Jean-Claude de Déblogue sur cette toile de l’école autrichienne, non signée :
Aimer
c’est perdre l’habitude
de n’aimer que soi
L’amour c’est quand le chat laisse l’oiseau s’envoler sans lui faire de mal!
Flairjoy
Comment by Flairjoy — 31 octobre 2007 @ 8:32
Tu te souviens. On c’était promis de refaire le monde a deux. Que tu soufflerais sur mon nombril pour me faire rire. On irait sur la grande roue et on s’embrasserait comme la toute première fois. Comme les putains de film » clichés » américain. Le matin j’enfilerais ta chemise en guise de pyjama pour ne pas avoir froid. On se mettrait sur le bord de la fenêtre pour regarder les passants qui défiles comme un couple de p’tit vieux qui ne savent pas quoi faire. Que tu jouerais de la guitare et que moi, j’inventerais les paroles. Et qu’on se promettrait un truc pas ordinaire. De ne jamais ce quitter.
Comment by Norha — 1 novembre 2007 @ 17:36
Un Ami c’est qlq’1 sur ki compter…
Un Ami c’est qlq’1 ki ne te juge pas…
Un Ami c’est qlq’1 ki t’aprécie pour cke t’es vrmt…
Un Ami c’est qlq’1 ki te comprend…
Un Ami c’est qlq’1 ki t’écoutes…
Un Ami c’est qlq’1 dont ta tjs besoin aupré de toi…
Un Ami c’est celui ki te connai par coeur…
Un Ami c’est celui ki a de grand bras pour tjs te consoler…
Un Ami c’est celui ki te fait tjs des bisous sur le nez pour te protéger…
Un Ami c’est la personne ke tu ne veux en aucun cas perdre et qui ne veux pas te perdre…
Un Ami c’est qlq’1 ki est tjs la et ki ne te laissera jms tomber
LALI TU ES MON AMIE JE T ADORE
Comment by Norha — 1 novembre 2007 @ 17:40
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés,
tu a renversé mon coeur , tu l’a fait chaviré.
Un vent d’amour m’a fait perdre la tete
Notre histoir est née pour ne pas qu’elle s’arrete.
Notre amour grandit de jour en jour
Je te laisse entrer et fermer mon coeur à double tour.
Tout deviens beau es merveilleux
Quand je vais me noyer au large de tes yeux.
Des sentiment encore ignorés se sont crées
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Dans un monde doux et sucré.
La flamme de mes yeux s’est allumée
Le soir ou nos lèvres se sont touchées.
Aujourd’hui le destin nous appartient
A nous seul de savoir prendre le meme chemin.
Mon amour pour toi est le plus grand
Je n’ai aucun doute sur mes sentiments.
Je t’aime…
Comment by Norha — 1 novembre 2007 @ 17:41
Un gars et une fille sont allongés par terre.
Le gars est une « racaille » la fille est une « gothique ».
Le gars lui demande si il lui fait peur, elle dit que non, puis elle lui demande la même chose.
Il lui dit non.
Elle lui montre son bras couvert de cicatrices, il les embrasse et lui demande pourquoi elle se mutile.
Elle repond que c’est la seule souffrance qu’elle contrôle.
Puis il l’embrasse encore et lui dit que
L’amour qu’il a pour elle est la seul chose qu’il ne contrôle pas
Comment by Norha — 1 novembre 2007 @ 17:39
Il me vient cette chanson de Bécaud « J’avais un copain »
J’avais un seul ami
Et on me l’a tué
Il était plus que lui
Il était un peu moi
Je crois qu’en le tuant
On m’a aussi tué
Et je pleure la nuit
Mais on ne le sait pas
C’était mon copain
C’était mon ami
Pauvre vieux copain
De mon humble pays
Je revois son visage
Au regard généreux
Nous avions le même âge
Et nous étions heureux
Ami, mon pauvre ami
Reverrai-je jamais
Ton sourire gentil
Parmi l’immensité ?
C’était mon copain
C’était mon ami
J’écoute la ballade
De la Mort, de la Vie
Le vent de la frontière
Veut consoler mes pleurs
Mais l’eau de la rivière
A d’étranges couleurs
Cependant dans les bois
Un mystérieux concert
M’a dit qu’il faut garder
L’espoir à tout jamais
Car ceux qui ont bâti
Ensemble un univers
Se retrouveront tous
Puisqu’ils l’ont mérité
O mon vieux camarade
Mon copain, mon ami
Parmi les terres froides
Je te parle la nuit
Et ton pesant silence
Est un mal si cruel
Que j’entends ta présence
Parfois au fond du ciel
Comment by Armando — 2 novembre 2007 @ 3:19
Un seul rayon de soleil suffit à éclairer tout le noir qui nous entoure.
Saint François d’Assise
Comment by Denise Rossetti — 4 novembre 2007 @ 15:11
Gérard Lenorman
La force d’aimer
2000
La force d’aimer
Que se lève encore la force
Que la sève sous l’écorce
Se réveille et se révolte
Et ré-amorce de gré de force
La force d’aimer
Que le rêve toujours l’emporte
Et que se taisent les cloportes
Ceux qui ont condamnés leurs portes
Qui colportent qu’elle est morte
La force d’aimer
C’est la force de toutes les mères
La folie dont on est fier
La force d’aimer
C’est la force qui dérange
Tous ceux qui ont peur que les choses changent
Peur de perdre, peur de vendre,
Peur que les cours des changes, changent
La force d’aimer
Force noble de la lumière
Que rien n’épuise, que rien n’altère
La source neuve et légendaire
Qui ne s’use que si I’on s’en sert, pas
La force d’aimer
C’est de la pub sans affiches
La pudeur que l’on affiche
La force d’aimer
{Refrain:}
Waouh…
Il neige des flammes
Soleil de l’âme
Waouh …
Ils s’aiment, ils savent
Se lèvent en vague …
D’amour …
D’amour
Que l’emporte toujours le souffle
Des poètes, des sans- ressources
Et que la fièvre encore les pousse
Hors des contraintes qui étouffent
La force d’aimer
Qu’on enterre les montagnes
De ces affaires à qui perd gagne
Et que les coquins de cocagnes
Tombent enfin, tous ceux qui bradent
La force d’aimer
C’est la force de ceux qui en veulent
C’est ton destin qui t’engueule
La force d’aimer
Faut-il jouer les « Don-Quichotte »
Contre ces moulins où flottent
Ces drapeaux d’indifférence
Qui te disent : « Tais toi et danse »
Est ce qu’il faut prendre les armes
D’une prière ou d’une larme
Faut-il brandir l’oriflamme… Des mal-aimés ?
Faut-il que Dieu redescende
De son ciel ou de ses cendres
Faut-il attendre qu’elle se vende
La force d’aimer ?
G.Lenorman
Comment by Géraldine — 7 novembre 2007 @ 10:05
Aimer c’est prendre soin d’une fleur qui éclôt
C’est transformer en rire un douloureux sanglot
C’est faire d’une toile un merveilleux tableau
C’est choyer en son nid un tout petit oiseau
C’est faire d’une bise une tendre caresse
C’est faire de la pluie une ondée de tendresse
C’est faire que l’oiseau surtout point ne se blesse
C’est en force changer la moindre des faiblesses
Ne plus aimer du tout c’est arracher la fleur
C’est transformer un rire en rictus de douleur
C’est faire du tableau une exécrable toile
C’est envoyer l’oiseau mourir dans les étoiles
C’est faire de la bise ouragan de malheurs
C’est transformer la pluie en déluge de pleurs
C’est faire de l’oiseau un ignoble vautour
C’est à soi-même aussi jouer un mauvais tour
Comment by Jean-Claude — 7 novembre 2007 @ 10:19