Apparences trompeuses ?
S’est-elle ainsi offerte au regard d’un homme autrefois, celle qui, aujourd’hui, semble loin de tout cela, plongée dans un livre qui lui suggère quelque émotion d’un passé qui fut le sien ? Ai-je lieu de croire que Pierre Collette en peignant ces deux lectrices, n’en a peint qu’une seule ? Et que la seconde est celle que tous ont le loisir de voir alors que la première n’est réservée qu’à quelques-uns, voire un seul ? Et qu’elle ne date pas d’autrefois, que le feu brûle encore en elle, malgré les apparences ?