Desassossego, intranquillité, un livre pour l’exprimer
Si vous voulez vous faire un cadeau — après-tout, les non-anniversaires ça sert à ça —, voilà le livre que vous devez vous offrir : Desassossego Lisbonne & Pessoa, où « desassossego » est la traduction du mot « intranquillité » en portugais, qu’on retrouve dans le titre d’un livre posthume de Fernando Pessoa. Vous y trouverez donc des citations de Pessoa, de magnifiques photos de Lisbonne prises par Aldo Soares, une préface pleine de tendresse et de saudade écrite par Misia et des textes de Laurence Sarah Dubas qui vous émerveilleront par leur sensibilité et leur regard et dont je vous offre cet extrait afin de vous donner le goût de ce livre remarquable sur Lisbonne et sur Fernando Pessoa : « Le bleu des azulejos se sauve des façades, se mire dans les pavés et les dalles, tel un ruban, se déroule le long des trottoirs, se répand au tout venant, se contemple dans les miroirs, gagne le bleu du ciel, le bleu de l’océan. Le bleu se fait impératif. Incontournable. » Un extrait qui plaira sûrement à Armando. Et pas qu’à lui!
C’est qui ce gars?… Fernando Pessoa?… Je connais un Fernando? C’est de la famille?…
Comment by Pépé Pépère — 8 septembre 2010 @ 21:23
c’est en effet un très beau livre, j’aime beaucoup, les textes de Laurence Sarah Dubas et les photos de Aldo Soares sont une merveille mais j’ai par contre été moins touché par la préface de Misia.
Comment by nina — 9 septembre 2010 @ 2:02
Merci Lali pour ton beau billet. J’ai envie d’acheter le livre. Je prends note 😉
Comment by Denise — 9 septembre 2010 @ 3:58
Est-ce que Pessoa est Suisse?…
Ah vous savez la dernière?… Denise, son mari et sa fille sont allés en France et sont arrivés dans un petite village et on leur a demandé « Qui êtes-vous? »… Denise toujours prête à faire un bon mot a répondu : « Nous sommes les 3 Suisses »…
Elle est restée toute l’après-midi à prendre note des réclamations des gens qui ont acheté de vêtements par correspondance.
Encore aujourd’hui, marquée par cet événement, à la moindre tournure de phrase, Denise prend note…
Comment by Pépé Pépère — 9 septembre 2010 @ 6:53
Pépé Pépère, tu me fais rire et c’est bien 🙂
Comment by Denise — 9 septembre 2010 @ 7:45
Un livre qui fait bien envie !
Comment by madame zaza — 11 septembre 2010 @ 14:51
j’aime les éclats de rire que me procure Pépé Pépère.
Comment by LOU — 12 septembre 2010 @ 6:26