Presque tout ce que j’aime

Le temps d’une carte postale envoyée de Russie, sourire devant presque tout ce que j’aime : les livres, les plumes, les lettres, le thé. Comment vivent celles et ceux qui ne reçoivent jamais de cartes postales?
Le temps d’une carte postale envoyée de Russie, sourire devant presque tout ce que j’aime : les livres, les plumes, les lettres, le thé. Comment vivent celles et ceux qui ne reçoivent jamais de cartes postales?
Et plus précisément à Guanajuato? C’est ce que me propose Giovana, qui ne tarit pas d »éloges à propos de cette ville aux maisons colorées, offrant plusieurs musées et cet endroit, où elle adore prendre un café.
Alors que je viens tout juste de valider les commentaires déposés sur l’illustration de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire, il est temps de vous proposer une nouvelle scène livresque afin que vous la racontiez en vos mots.
C’est sur une illustration de William Stephen Coleman que mon choix s’est arrêté, en espérant que celle-ci vous inpirera et que nous aurons le plaisir de vous lire au moment de la validation des textes dans une semaine.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
J’ai toujours aimé les bateaux, particulièrement les bateaux à voile. Or, j’ignore totalement d’où me vient cet amour. Par contre, ce dont je suis absolument certaine est que j’aime beaucoup ce tableau signé Frans Schot.
Martyn Ford, co-auteur et illustrateur de How to be British, s’y connaît quand il s’agit de rendre accessible à tout le monde l’art d’être British. La leçon 76 est essentielle. Ma filleule sera d’accord, j’en suis convaincue.
Sortons nos jolies robes, mais n’oublions pas nos parapluies. Ils sont de mise au printemps!
Le courrier voyage à la vitesse de l’escargot, dit-on. C’est pour cela qu’on l’appelle anglais snail mail. Mais ce n’est pas cela qui m’empêchera d’envoyer des lettres et des cartes postales. La correspondance est au centre de ma vie depuis plus de 50 ans, au même titre que les livres, la musique, la peinture. Toutes ces choses qui me sont essentielles.
La carte que m’a envoyée Lina, de Lituanie, ne pouvait donc que me plaire!
Un amour qui n’a pas été réalisé ou, même, qui n’avait pas atteint la satiété, c’est toujours un volcan qui ne dort pas son dernier sommeil. Que les circonstances s’y prêtent, il flambe de nouveau. (Claire Martin)
*toile de Benjamin West