Le tramway de la rue Augusta

Armando, qui connait mieux que quiconque Lisbonne, aura-t-il quelque chose à nous raconter à propos de ce tramway ou de cette rue?
Armando, qui connait mieux que quiconque Lisbonne, aura-t-il quelque chose à nous raconter à propos de ce tramway ou de cette rue?
Peut-être que cette carte vous semblera banale. Oui, peut-être. Mais pour celle qui aime ramasser roches er galets que je suis, cette carte postale est une petite merveille.
La musique a le pouvoir de revivifier les souvenirs, avec une intensité et une clarté telles que l’on en est parfois blessé. (Haruki Murakami)
*toile de Rebeca Luciani
Il y a deux ans, à l’occasion de Noël, je me suis offert un koala en peluche. Je l’ai appelé Koko. Et comme celui sur cette carte postale que m’a envoyé Michael lui ressemble beaucoup, je l’appellerai aussi Koko!
Je suis fan du travail de l’architecte brésilien Oscar Niemeyer, dont je vous ai déjà parlé à quelques reprises. Je ne pouvais donc qu’aimer cette carte postale mettant la cathédrale de Brasilia en vedette.
Qui dit dimanche au pays de Lali dit une nouvelle scène livresque à faire vivre en vos mots. Or, comme le froid persiste, j’ai choisi pour vous une scène qui réchauffe, imaginée par l’illustratrice Stanimira Petrova. Puisse-t-elle titiller votre imagination!
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera visible avant dimanche prochain. Cele vous laisse donc le temps de lire les textes que vous avez écrits pour donner vie à l’illustration de la semaine dernière, et d’écrire quelques lignes. C’est avevc plaisir que nous vous lirons.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envomostistes et à celles et ceux qui les lisent.
Je voyage chaque jour grâce aux cartes postales. Et c’est un bonheur dont je ne me lasse pas. Je ne sais donc pas, au moment de retirer quelques cartes de ma boîte aux lettres, où je me retrouverai, Sera-ce tout près ou au bout du monde? Dans une grande ville ou un minuscule village?
Chaque carte, chaque endroit a son charme. Et pour celle qui aime les petites rues étroites que je suis, celle-ci, en provenance de Stockholm, est une pure merveille.
Une photo toute douce signée G. Pukkalus, dont je ne sais rien rien. Ce qui ne m’empêche nullement d’aimer cette image.
Bien sûr que cette image peut vous semble banale. Je le conçois. Mais pour moi, ce n’est pas le cas, et ça ne le sera probablement jamais. Un cœur dans le sable, c’est du bonheur. Beaucoup de bonheur.