Joyeux, joyeux Noël!
Snoopy se joint à moi pour vous souhaiter un très joyeux Noël en compagnie des personnes qui vous sont chères. Puisse-t-il être doux, très doux. Tout simplement.
*illustration de Charles M. Schulz
Snoopy se joint à moi pour vous souhaiter un très joyeux Noël en compagnie des personnes qui vous sont chères. Puisse-t-il être doux, très doux. Tout simplement.
*illustration de Charles M. Schulz
Mary fabrique ses propres cartes postales de Noël et passe une partie de l’année à les préparer. Elle met toute sa passion à rendre chacune d’elles unique.
Cette carte n’est-elle pas de toute beauté?
J’aime beaucoup les illustrations de l’artiste Virpi Pekkala. J’en ai d’ailleurs partagé quelques-unes avec vous au fil des ans. Or, en cette veille de Noël, pour l’avant-dernier En vos mots de l’année, ces lutins lecteurs m’ont semblé tout à fait appropriés.
À vous de les faire vivre, de nous raconter comment ils comptent se reposer maintenant que tous les cadeaux sont prêts à être livrés, ce qu’ils entendent lire au cours des prochaines semaines et ce qu’ils sont déjà en train de lire.
Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, comme le veut l’habitude. Vous avez donc amplement le temps de lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier et d’écrire quelques lignes d’ici là.
Bon réveillon et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Un montage photo sur carte postale de la photographe ontarienne Melanie Denis.
Une fort jolie illustration signée Rie Cramer, que j’aime beaucoup. Un envoi d’Anémone.
Le livre est un morceau de silence dans les mains du lecteur. Celui qui écrit se tait. Celui qui lit ne rompt pas le silence. (Pascal Quignard)
*toile d’Agnieszka Banasiak
C’est à Sainte-Flavie qu’est née ma grand-mère paternelle. Je m’y suis arrêtée en 2019. J’ai même eu l’occasion de voir quelques tableaux de Guillaume Gagnon, à qui l’on doit cette belle scène hivernale sur carte postale.
Une image datant de 1896 tirée du magazine La mode illustrée. Comment faisaient-elles pour respirer?
Si je retourne un jour à San Francisco, je ne pourrai pas visiter la librairie Alexander Book Company. Celle-ci a hélas fermé ses portes il y a quelques mois. Oui, encore une librairie inédpendante qui disparait… Tristesse.
Je me rends compte qu’on peut écrire infiniment, qu’on écrira infiniment, qu’aucun livre n’aura le pouvoir de flétrir la littérature. (Marin Malaicu-Hondrari)
*illustration d’Emily Arnold McCully